Cherry Wilson *

Cherry Wilson
Magic Girl

Cherry est inventée .

I. Identité

Nom, Prénom(s) :

Date de Naissance, Age :

Lieu de Résidence :

IV. Informations complémentaires

Composition de la Baguette :

Camps :

Maison désirée :

Don particulier :

V. HJ - Vous

Age :

Niveau en Rp :

Présence /7 :

Personne sur votre avatar :

Code du Règlement :

{True Minette}

Comment nous avez-vous connus ?

Her Story

[A la première personne]

Je me suis toujours demandée ce que cela faisait d’avoir des parents .On m’a appris, lorsque j’avais eu l’âge de comprendre, que j’avais été déposée sur le porche d’une maison et ensuite amenée ici, à l’orphelinat .Jusqu’à ce jour, j’avais été bien bête de croire que tous les enfants vivaient ainsi, avec simplement des nourrices à disposition et des professeurs qui se déplaçaient pour venir faire l’école. C’était la directrice des lieux qui m’avait fais part de cette nouvelle, et ne sachant pas comment réagir vu que pour moi cette situation était tout à fait normale, j’avais esquissé un sourire et j’étais calmement retournée jouer avec mon ami imaginaire et ma peluche rapiécée .Intriguée tout de même, à huit ans, qui ne l’aurait pas été ? , j’eu l’envie de découvrir le monde, en dehors des sorties en forêt faites avec l’orphelinat. C’est comme sa que je me retrouvais, ma peluche à la main, dans les rues faiblement éclairées et sales de Montréal.

La chambre que je partageais était vaste, c’est maintenant le seul souvenir que j’ai de l’orphelinat ainsi que les vastes jardins où j’avais passé la plus grande partie de mon enfance .A présent, je vis dans une maison de campagne quelque part au Canada, seulement durant les vacances scolaires, mais cela ne m’empêche pas d’avoir de bonnes relations avec ma famille adoptive. Après tout, grâce à eux, j’ai découverts celle que je suis vraiment. Bref, j’ai passé une bonne partie de mon histoire alors je vais reprendre là où je m’étais arrêtée. Ce que je vais vous conter peut être banal alors ne vous attendez pas à quelque chose de grandiose, j’ai eu une enfance simple et une chance incroyable, simplement !

Je me rappelle clairement de cette nuit et ce qui s’en est suivi .Bizarrement d’ailleurs, quand j’y repense cela prend facilement des airs de film d’horreur, du moins cette soirée à trainer dans les rues …
J’étais en pantoufles, pyjama et pour seul compagnie ma peluche et la lumière incertaine et faiblarde des vieux lampadaires. Dans mon souvenir, mes cheveux blonds étaient courts et emmêlés, détail insignifiant dont je ne sais plus si je l’ai inventé ou s’il était bien réel. L’heure tardive ne me fatiguais en rien et la sensation d’être encore debout était assez bizarre, je me sentais libre. Chose que je n’avais pas connu mais que définir ne me posait aucun problème. Au coin d’une rue, alors que je tournais tout à fait au hasard, je rencontrais un jeune chat abandonné. Les poils de ce dernier se hérissèrent, tandis que ses lèvres retroussées laissaient apparaitre des dents blanches aiguisées. Pour huit ans j’étais petite et ridiculement apeurée par une bête qui devait l’être autant que moi. Pourtant je ne réussissais à détacher mon regard du jeune animal couleur ébène qui faisait tout aussi peur que son ombre sombre et agrandie par la lumière contre le mur rougeâtre de la maison juste à côté. Malgré la peur qui me submergeais, mes yeux gris plongèrent dans les pupilles bleues marine de la bête et sans que je puisse l’expliquer, une sensation étrange s’empara de moi et la bête sembla se calmer avant de prendre une position allongée sur le sol. Je finis par me ressaisir après avoir sombrée dans une étrange léthargie. Je tournais les talons tandis que les yeux du chat me vrillaient le dos et allongeais mon allure dans une fluidité qui m’étonna. Je me sentais légère pour la première fois alors que je n’avais jamais eu l’impression d’être chargée d’un poids. Encore une chose étrange qui alimenta cette nuit. J’étais aux aguets, tellement que j’entendis les pas feutrés de l’animal qui m’effrayait, ou m’avait effrayée du moins.
Sans me retourner, j’allongeais à nouveau le pas et fus plongée dans entièrement dans les ténèbres lorsque un nuage sombre eu la bonne idée de se planter devant la pleine lune qui éclairait principalement la ruelle que j’avais entreprise. Peu à peu, je me glissais sur les trottoirs propres d’une rue bien éclairée. Un quartier riche. J’en avais souvent entendu parler et je trouvais sa encore plus beau que dans mes pensées. Ce n’était qu’une rue pourtant. Les passants se faisaient à présent nombreux. Une bonne dizaine tandis que chaque pavé semblaient illuminés et que le quartier résonnait de bonne humeur et de joie de vivre. Je remarquais la grande différence qui séparaient ces deux endroits pourtant si proches. Les visages que je croisaient me dévisageaient bien que je restais dans l’ombre des habitations imposantes. Je devais tout de même faire tache dans ce décor propre et parfait. Moi sale, mes habits clairs d’autrefois gris maintenant.

A FINIR

Prof

Bonjour,
Pourrions nous avoir de tes nouvelles?

Prof

Une nouvelle semaine est passée, ta fiche est donc envoyée dans celles abandonnées.
Elle reste disponible si tu souhaites la terminer bien evidemment Wink