#. Eloge de la folie
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 ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 %

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MessageSujet: ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 %   ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 % EmptyDim 1 Mar - 20:08

─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 % Ninjascopy ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 % Boywizard2copy
(c) rave-icon

Mon personnage est : prédéfini


I. Identité

    Nom, Prénom(s) : Potter. Un nom à la fois simple et connu. Harry. James, comme son père.
    Date de Naissance, Age : 31 Juillet 1980. 13 ans.
    Lieu de Résidence : Pendant l'année scolaire, Poudlard. En période de vacances, chez les Dursley, 4 Privet Drive.


II. Informations complémentaires

    Composition de la Baguette : Elle est composée d'une plume de Phénix, plume jumelle de celle incrustée dans la baguette de Lord Voldemort. Elle est en bois de houx et mesure 27, 5 cm. Facile à manier, souple. Jumelle de la baguette du Seigneur des Ténèbres.
    Camp : Le sien. Celui de Dumbledore.
    Maison désirée : Gryffondor.
    Don particulier : Fourchelang, capable de résister au sortilège de l'Impérium et au charme naturel des Vélanes.



III. HJ - Vous

    Age : 15 années.
    Niveau en Rp : Bon What a Face
    Présence /7 : 5/7
    Personne sur votre avatar : Daniel Radcliffe
    Code du Règlement : {True Stan}
    Comment nous avez-vous connus ? DC de Calvin Dawson (avec accord de Sev')


Dernière édition par Harry J. Potter le Jeu 5 Mar - 3:41, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 %   ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 % EmptyDim 1 Mar - 20:08

RP de Présentation

    Le temps était chaud en ces jours là. Nous nous situons le 31 Juillet d'une certaine année 1980. Le temps est étouffant, chaud et crevant. Tout le monde sort de chez soi, boit des litres d'eau à en devenir ballonné, joue dans l'herbe des jardin ou mange des glaces à en devenir allergique. A Ste Mangouste, une femme vient d'accoucher d'un petit garçon. Elle et son mari attendent de voir l'enfant. Enfin délivrée. Lily souffle, après une longue série de hurlements. Elle vient de passer l'après-midi le plus horrible de sa vie. Pendant quelques minutes, elle a put croire que cela ne s'arrêterait jamais. Elle est désormais épuisée. James, lui, un sourire aux lèvre, attends de voir son enfant, en tenant la main de sa femme. La médicomage responsable du bébé arrive, avec l'enfant dans les bras.

    « Félicitations. Quel sera son prénom ? », dit-elle en tendant le bébé à ses parents.

    Le bébé était magnifiquement beau. C'était un bébé joufflu. A la vue de ses géniteurs, il esquissa un sourire large qui couvrait la largeur de sa figure. Lily reconnu immédiatement ses yeux tandis que le reste appartenait à la morphologie de James. Le bébé avait les yeux verts, un vert innocents mais si beau. Il avait déjà une bonne touffe sur le crane, des cheveux en pagaille. Des cheveux noirs. Des cheveux qui se battaient en duel en fait.

    « Harry James Potter ! », répondit James.

    Ils y avaient beaucoup réfléchit avec Lily. Ils avaient décidés de prendre comme deuxième prénom soit le nom de sa mère, si c'était une fille, soit le nom de son père, si c'était un garçon. Il avaient aussi pensés à Alanis si l'enfant était une fille. Et Harry, si l'enfant était un garçon. En fait, il n'y avait pas de signification particulière au premier prénom. Juste des idées comme cela.

    Le temps passa. Le petit Harry grandit. Il grandit à une vitesse alarmante. Bientôt, il devait déjà porter des habits d'enfant allant pour un bambin de un an. Le petit vivait heureux. La famille Potter vivait le petit et noble village de Godric's Hollow qui doit son nom au fait qu'il accueillit Godric Gryffondor, fondateur de la noble maison de Gryffondor, à Poudlard. Là-bas, James avait construit un havre de paix pour sa famille. La maison était petite mais très belle et James y avait mit tout son cœur et toute son énergie. Harry James avait tout ce qu'il lui fallait. Un père, une mère, un parrain, une maison. Harry Potter avait atteint l'âge de 1 année.


Dernière édition par Harry J. Potter le Lun 2 Mar - 0:37, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 %   ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 % EmptyDim 1 Mar - 20:09

    Le temps était devenu glacial en ces temps de guerre . En ce jour du 31 Octobre 1981, le vent souffle particulièrement fort. La famille Potter célèbre comme tout le monde cette fête que les moldus appellent Halloween. Harry est épanoui. Il va chercher des bonbons avec ses parents dans le village de Godric's Hollow. Un sourire se dessine sur ses lèvres à chaque fois qu'un des habitants des charmantes maison de Godric's Hollow lui donne un peu de bonbons. C'est si bon de le voir s'épanouir de la sorte.

    Bientôt, James, Lily et le petit rentrent à la maison. James et Lily ont apprit une nouvelle récemment. Ils sont voués à mourir ce soir même. C'est Voldemort, le Seigneur des Ténèbres qui veux les tuer. James et Lily ont préparés le fait de ce cacher dans leur cottage. Bien sûr, ils ne résisteront pas longtemps, ils le savent. Mais pour leur fils, ils feront tout ce qu'ils peuvent. Ils veulent le sauver.

    Le soir venu, vers vingt-trois heures, un homme franchit la barrière de la maison des Potter. Vêtu d'une cape, il avanca à pas sourd. Quelques minutes plus tard, un cliquetis d'ouverture de porte résonna aux oreilles de Lily et James. James et sa femme se regardèrent d'un œil noir. James dit alors :

    « Je vais tenter de le repousser. Je t'aime chérie. » Souffle puis baiser sur la bouche de sa femme.

    James se précipita au dehors de la chambre du premier étage. Il prit le soin de fermer la porte derrière lui. Entendant les bruits de pas, il s'approcha de l'escalier. Un sifflement retentit :

    « Tu ne pourra éviter le pire, Potter. »

    La voix s'arrêta. James, apeuré mais toujours aussi courageux s'avanca et descend l'escalier. Il descendit jusqu'à arriver au milieu de l'escalier de bois. L'homme en face de lui enleva son capuchon. Une tête blafarde apparut alors aux yeux du jeune Potter. Le visage de l'homme qu'était Lord Voldemort était aussi blafard et glacial que la neige. Des prunelles rouge sang ornaient à présent la tête de cet assassin. Une marque ornait tout son visage, blanc comme le marbre.

    « Tu n'es pas supérieur aux autres, Voldemort ! », s'écria James d'une voix qu'on lui reconnaissait.

    « Avada Kedavra »

    Un éclair vert, jaillit de la baguette que tenait Voldemort de sa main droite. Un cri horrifiant fut poussé aussitôt par James avant qu'il ne s'effondre par terre à cause du sortilège qui le touchait en plein cœur. Voldemort s'avança de près d'un pas claudiquant puis jeta un regard de mépris à celui-ci. Un premier était éliminé, il ne manquait plus que la femme et son enfant. Voldemort passa outre le corps gisant à terre de James Potter et monta l'escalier. Il savait que Lily Potter était préparée pour l'affrontement.

    Quand il arriva devant la porte de la chambre du bébé, il utilisa un simple sortilège de repousse-objets et la porte s'ouvrit en grand devant lui. La femme était là. Elle portait son enfant dans ses bras. Quand elle vit le visage de Voldemort, elle se protégea, ou du moins, elle protégea son enfant de son dos, frêle et maigre. Sous le coup, elle ne survécu pas. Un simple sortilège d'Avada Kedavra avait fait d'elle un simple cadavre. Le bébé était tombé sous le coup et était donc à moitié assis, dos contre l'armoire du fond. Voldemort s'avança vers lui. Sa baguette était relevée, pour qu'il puisse exécuter le sort comme il se devait.

    « Avada Kedavra ».

    Voldemort pensait en avoir fini avec son travail. Il pensait qu'il resterait impuni de son crime. Mais un phénomène très très très étrange se produisit au moment où Potter fut touché. Il joua comme un rôle de bouclier et le sort se retourna contre le Seigneur des Ténèbres. Le Seigneur des Ténèbres perdit vie à ce moment. Ou du moins, il perdit vie à travers un corps. Son âme errait encore dans la maison des Potter. Les ruines de la maison devrait-on dire. En effet, l'effet que le sortilège avait-eu, avait ébranlé la maison et elle avait été détruite.
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MessageSujet: Re: ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 %   ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 % EmptyLun 2 Mar - 3:38

    « Potter ! Dépêche-toi. Viens préparer le petit-déjeuner ! »

    Encore une fois la voix de Pétunia Dursley résonnait dans le placard à balais où Harry logeait. Un placard qui était souvent l'objet de poussière et araignées. Depuis ses 1 ans, Harry avait été habitué à dormir dans ce placard, aussi insalubre et mauvais pour la santé soit-il. D'ailleurs Harry ne savait pas comment il avait atterri ici. Il n'avait jamais su pourquoi ses parents était mort. Enfin la "raison" aurait été qu'ils étaient morts dans un accident de voiture. Harry avait cru cette version, faute d'en avoir une autre plus potable.

    Des coups de pieds résonnèrent au-dessus de la tête de Harry.

    « Cousin. Réveille-toi. On va au zoo ! ».

    Dudley avait toujours eu cette fâcheuse tendance à énerver son cousin de telle sorte à ce qu'Harry le déteste. En tout cas, si c'était fait exprès, c'était réussit. Harry se décida donc à se lever. Quand il ouvrit la porte, Dudley était là et l'envoya valdinguer dans son placard. Il faut dire que Harry pour le haut de ces 11 ans n'était pas bien gros. Il se releva et alla dans la cuisine d'où provenait des paroles proférées par Pétunia.

    « C'est l'anniversaire à qui ? A mon Dudlynouchet chéri. Viens voir tes cadeaux ! »

    Harry entra dans la pièce avant que Pétunia ne lui dise :

    « Prépare le petit-déjeuner. Et tâche de ne rien faire brûler ! »

    « Oui tante Pétunia. »

    Vernon Dursley renchérit en hurlant à mi-voix :

    « Dépêche-toi, apporte moi mon café !!! »

    Harry répondit par un « oui, tout de suite. »

    Dudley se retourna vers son père en voyant la pile innombrable de cadeau. N'importe quel autre enfant, y compris Harry, aurait voulu avoir une pile aussi grande de cadeaux. Dudley regardait son père d'un regard noir et furieux puis demanda :

    « Combien il y en a ? »

    Vernon regarda son fils d'un air quelque peu satisfait et méprisant, à moitié vaniteux.

    « 36. Je les ait comptés moi-même ! »

    « 36 ? 36 ? Mais l'an dernier, l'an dernier j'en avait 37... »

    C'était un regard pire que furieux que Dudley exprimait là. A croire qu'il était le garçon le plus pauvre du monde. Harry regarda la haine de Dudley et fut prit d'une petit rire discret. On aurait dit un cochon sur pattes arrière. C'en était presque comique. Harry aurait tellement voulu dire à Dudley « Tu n'en veux pas ? Donne les moi alors ! », mais cela aurait fait enrager à coup sûr toute la famille et une punition de plus ne valait pas ça.

    « Mais certain sont plus gros ... », avait alors dit avec un autre de ses sourires Vernon.

    « Je m'en fiche qu'ils soient plus gros ! »

    Pour calmer le jeu, Pétunia s'avança vers son fils et dit :

    « Ne t'inquiètes pas mon chéri. Quand nous serons au zoo, nous t'achèterons 2 autres cadeaux ! »

    Quelques minutes plus tard, Harry et sa famille adoptive sortaient pour aller au zoo, activité favorite de Dudley. Pétunia et Dudley montèrent illico-presto dans voiture tandis que Vernon prenait Harry à part.

    « Je te préviens, à la moindre chose, bizarre ou inexplicable, la moindre chose, je te prive de nourriture pendant une semaine. »

    Quelques minutes plus tard, Harry et sa famille adoptive se retrouvaient au zoo. Dudley avait eu envie de visiter le raire des reptiles. Il s'était posté devant un grand aquarium qui abritait un boa constrictor.

    « Bouge ! », avait-il dit.

    Il avait regardé son père, un regard de supplique aux lèvres puis Vernon avait hurlé en tapant sur la fenêtre de la cage :

    « Bouge ! Bouge ! »

    Harry, qui n'aimait pas qu'on l'embête lui-même avait alors dit « Il est endormi !!! ». Vernon, Pétunia et Dudley étaient alors partis de l'autre côté voir d'autres reptiles. Puis Harry, voyant que les trois Dursley n'étaient plus là et inconsciemment dit :

    « Je te demande pardon. Ça doit être fatiguant de voir tout ces visages collés à la vitre, n'est-ce pas ? »

    Le serpent, à la surprise de Harry, fit un signe de la tête voulant exprimer qu'il était d'accord avec Harry. Harry plus surpris encore demanda « Est-ce que tu m'entends ? ». Le serpent avait encore une fois hoché la tête pour montrer son approbation. Harry avait encore renchérit : « Est-ce que tu parle souvent aux gens ? ». Au contraire des deux autres fois, le serpent avait répondu l'inverse grâce à sa tête. Harry avait à peine finit sa conversation pour le moins bizarre avec le serpent que Dudley arrivait déjà. Le cousin d'Harry poussa celui-ci et il tomba à la renverse à terre. Dudley agrippa ses mains sur la vitre de l'aquarium. Harry plissa les yeux et là, tout d'un coup, la vitre disparu. Harry en fut encore plus surpris. Dudley tomba à la renverse dans l'eau de l'aquarium. Le serpent, lui pu s'échapper de son habitacle. Tout le monde s'affola autour d'Harry. Le serpent se releva et regarda Harry. Dans un sifflement, le Serpent esquissa un « Mercccccccccci ! ». Harry, quelque peu déboussolé, acquiesça et prononça un « Jt'en prie » faible.

    Le serpent s'enfuit alors, rampant au travers des gens qui le fuyaient. Quand à Dudley, il était à présent enfermé dans la cage. Harry esquissa un sourire jusqu'à ce que Vernon voie ce dernier.


Dernière édition par Harry J. Potter le Lun 2 Mar - 4:33, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 %   ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 % EmptyLun 2 Mar - 3:38

    De retour à la maison des Dursley, Pétunia emmèna son fils chercher des vêtements propres. Quant à Vernon, il tira par l'oreille Harry. Harry en avait l'habitude désormais mais cela faisait toujours aussi mal. Vernon criait désormais :

    « Que s'est-il passé ? »

    « Je ne sais pas. La fenêtre a disparue, comme par magie. »

    Vernon ouvrit la pote du placard à balais de Harry puis l'enferma dedans. Grâce aux fentes, il cria à Harry « La magie, mon garçon, ça n'existe pas ! ». Harry était apeuré. Cela n'était pas un fait normal pour lui. Comment la fenêtre avait t-elle pu bien disparaître. Il savait bien que la magie n'existait pas. Mais il fallait être rationnel et là le rationnel ne marchait pas.

    Les jours passèrent. La punition de manger à Harry ne fut pas effectuée. Ce fameux jour, Harry alla chercher le courrier en plus de ses tâches quotidiennes. Il regarda par simple curiosité. Une lettre de tante Marge, une facture et ... Il regarda un peu plus. Une lettre cachetée à la cire à son nom. Non-méfiant, Harry revint dans la cuisine des Dursley, passa les lettres qui était destinées à la famille puis regarda avec plus d'entrain la sienne. Mais avant qu'il ne l'ouvre, Dudley la lui avait prise. « Papa regarde ! ». Harry, énervé, hurla « Cette lettre est à moi. ». Vernon, le regard amusé regarda Harry puis s'esclaffa : « A toi ?! Mais qui pourrait bien t'écrire ?! ». Vernon retourna l'enveloppe contenant la lettre puis le sourire s'effaca de sa bouche. Les trois Dursleys regardaient désormais Harry d'un air troublé.

    Les jours suivants d'autres lettres arrivèrent. Toutes aussi semblables les unes que les autres. Il en arriva tellement, que Vernon bloqua l'accès au courrier de la boîte aux lettres.

    Puis arriva le jour du Dimanche.

    « Merveilleux jour que le Dimanche. Pourquoi Dudley ?! », s'esclaffe Vernon.

    Harry répondit à la place de Dudley « Parce qu'il y a pas de courrier le dimanche. ». « Tu a deviné Harry, pas de courrier. Non monsieur, pas de satanée lettre aujourd'hui. Pas de maudite lettre aujou... », dit Vernon avant qu'une lettre ne tombe sur sa barbe grisâtre. Une lettre, puis une autre, puis cinquante autres, puis cents autres, puis milles autres.

    Une pluie de lettres. Harry essaya alors d'en attraper une puis une autre et essaya de se cacher dans son placard mais Vernon le retint. « Ces lettres sont à moi. », hurlait Harry. Vernon l'emprisonnait de son tour de bras et Harry avait très mal. « Nous allons partir, partir très loin, là où elle ne pourront pas nous retrouver ! », hurla à son tour Vernon...


Dernière édition par Harry J. Potter le Lun 2 Mar - 5:24, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 %   ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 % EmptyLun 2 Mar - 4:37

    Ce fameux soir, Vernon, Harry, Pétunia et Dudley avaient donc pris la voiture et le père de la famille avait décidé de les exiler vers une mini-île. Le temps était instable en ce mois de juillet et les vagues tempêtaient sur les murs de la maison. Pétunia et Vernon avaient pris le lit du haut, pour plus d'inimité, quoique leur intimité était forte compromise. Dudley, lui avait pris le canapé, bien que les ressorts lui rentraient dans les fesses, il ne s'en plaignit pas. Ce qui laissait à Harry le soin d'établir son couchage à terre. Il en avait l'habitude depuis le temps. En fait, chez les Dursley, il n'avait jamais eu de vrai lit. Depuis qu'il avait été "recueilli" par les Dursley, sa vie n'avait été que cauchemar. En effet. Dès ses 2 ans, il du savoir s'habiller tout seul, lasser ses chaussures tout seul également. Des choses qu'un gamin de 4 ans ne sait pas faire ou n'apprend qu'à faire en temps normal. Puis vers l'âge de 7 ans, il du préparer le petit-déjeuner de la famille et obéir à touts les ordres de Vernon, Dudley et Pétunia.Depuis, chaque matin, même routine. Préparer le petit-déjeuner.

    La tempête soufflait encore sur les murs fins de la cabane qu'avait loué Vernon pour le cacher ainsi que sa famille et Harry. Il était près de minuit désormais. Harry avait tracé du mieux qu'il pouvait, sur le plancher où du sable était incrusté, une espèce d'ovale avec des bâtons, représentant un gâteau d'anniversaire. « Fait un vœu Harry. », se dit-il à mi-voix. Comme si quelqu'un avait entendu son vœu, la porte se mit soudain à s'ébranler sous le poids de quelqu'un qui tapait au dehors. Cela réveilla la famille Dursley et Harry se releva puis quand la porte fut brisée et atterri sur le sol, il se cacha dans un des coins le plus proches de la cabane. Des son coin caché, Harry pouvait voir la chose qui était entrée. Un homme. Enfin, à en juger par sa taille, il n'en était pas un. Il fit quelques pas pour arriver juste à la porte était tombée. Vernon, lui avait sorti une arme et allumé la lumière. L'homme barbu avait alors dit « Désolé pour cette entrée !! ». Tout bonnement ridicule. Puis Vernon avait hurlé d'une demi-voix « J'exiges que vous sortiez sur le champ, c'est une violation de domicile ! ». L'air furieux de Vernon se sentait à l'autre bout de la pièce. Après avoir remis la porte dans son habitacle, l'homme qui semblait de plus en plus grand se tourna vers Vernon et Pétunia, qui se cachait derrière son mari, et vint à sa rencontre. « Taisez-vous Dursley, espèce de vieux Pruneau ! » avait-il dit avant de tordre d'une main le fusil que tenait Vernon. Le fusil émit un bruit sourd. Après cela, l'homme qui était encore plus grand aux yeux de Harry vint à la rencontre de Dudley. « Harry ! Je ne m'attendait pas que ait autant grandi et grossi surtout au niveau de la taille ! », soupesa t-il d'une voix qui semblait très forte. Dudley regarda l'homme d'un air crédule puis répondit « Je ... je ne suis pas Harry ! ». Harry, qui était caché dans la fente de deux murs, sortit de sa cachette puis dit « C'est... c'est moi, Harry. ». Et comme si l'homme qui paraissait immense à côté d'Harry savait qui il était, il répondit à son tour « Bien sûr que c'est toi ! ». L'homme prit alors, dans la poche intérieur de son manteau un parapluie, ou du moins il y ressemblait puis alla s'asseoir sur le canapé, qui était avant le lit de Dudley. Ce qui se passa ensuite fut surprenant pour Harry. De l'extrémité de son parapluie jaillit de flamme qui vinrent se poser sur la cheminée...

    Harry regarda les flammes bouger dans l'antre de la cheminée puis demanda : « Mais qui êtes-vous ? ». Le géant regarda Harry puis répondit d'une voix tranquille « Rubeus Hagrid, gardien des clés et des lieux à Poudlard. Tu sais déjà tout sur Poudlard bien sûr. ». Harry fut surpris par la réponse de son interlocuteur. Non il ne savait fichtrement pas qu'est-ce qu'était ce Poudlard ! « Non. Désolé ! », reprit-il. Hagrid regarda d'un œil rond Harry. « Non ? Tu ne t'es jamais de demandé comment tout cela arrivait ? », demanda le géant. Harry surpris de la question reprit en demande « Tout ça quoi ? ». Hagrid prit alors une profonde inspiration et dit : « Tu es un sorcier Harry ! Et tu en sera un sacré bon quand tu sera un peu entraîné. »

    La réaction de Harry fut immédiate « Je suis un ... quoi ? Non c'est impossible, vous devez vous tromper de personne. ». Il n'y croyait pas. C'était impossible. Bien qu'il y ait eu ces derniers jours des choses improbables qui se furent passées, il n'y croyait aucunement. Il lui faudrait des preuves. « Ha bon ? Réfléchis. Il ne s'est jamais passé de choses bizarres ou inexplicables quand tu étais en colère ou que tu avais peur ? », reprit Hagrid.

    Quand il y réfléchissait, Harry trouvait que la visite au zoo avait été étrange. Cette vitre qui avait disparue toute seule. Et il se souvenait de certaines fois où Dudley tombait tout seul... Étrange. Puis l'homme qui se disait être gardien des clés et des lieux à Poudlard tendit une lettre à Harry.

    Citation :
    Cher monsieur Potter,

    Je tenais à vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription à Poudlard, école de sorcellerie. Vous trouverez ci-joint la liste des matériaux nécessaire pour votre éducation. Nous vous attendons donc ce 2 Septembre.

    Salutations distinguées,
    Minerva McGonagall, directrice-adjointe.

    Harry regarda Hagrid d'un air crédule puis Hagrid lui dit « Au fait, joyeux anniversaire Harry ! C'est pas tout les jours que votre petit protégé fête ses 11 ans ! ». Hagrid sortit alors de son manteau un paquet qui renfermait un gâteau. Il le tendit Harry qui le prit et l'ouvrit. Joyeux aniversaire était-il écrit. Harry fut ému qu'on pense à lui de telle sorte, même si l'écriture était quelque peu faussée. Hagrid continua et dit « Je l'ai fait moi même ! Et le texte aussi ! ». Harry fut quelque peu amusé et posa le gâteau sur la table qui se trouvait à côté de lui.

    La scène qui s'en suivit fut quelque peut hurlée aux oreilles de Harry. Vernon Dursley hurlait qu'il n'irait pas à Poudlard et Hagrid tempêtait le contraire. Puis Hagrid reprit et s'esclaffa « Ohoh et je suppose que c'est un pauvre moldu qui va l'en empêcher ? ». « Moldu ? », s'offusqua Harry. « Ceux qui n'ont pas de pouvoirs magiques. Ce garçon est inscrit depuis sa naissance à Poudlard et aura le plus grand directeur que Poudlard aura pu avoir : Albus Dumbledore. », répondit d'une voix tonitruante Hagrid. Vernon répliqua : « Je refuse de payer pour qu'un vieux timbré lui apprenne des tour de magie. ». La réaction d'Hagrid fut immédiate. Il ressortit son parapluie et le pointa sur le père de la famille Dursley. « N'insultez jamais plus Allbus Dumbledore devant moi ! ».

    Hagrid regarda alors d'un œil morne Dudley qui se goinfrait par derrière du gâteau de Harry. Il pointa son parapluie rosâtre sur lui et une queue de cochon lui poussa au devant. Harry en éclata de rire mais il était bien trop préoccupé. Il venait d'apprendre qu'il était sorcier et que ses parents n'étaient pas morts dans un accident de voiture, comme l'avait prétendu Pétunia. C'était beaucoup pour une seule fois. Hagrid, le regard amusé, regarda Pétunia et Vernon courir après leur fils, paniqués. Puis il demanda à Harry « Oulà. On n'est pas en avance. On ferait mieux de se dépêcher. A moins que tu veuilles rester avec eux ? ». Harry prit un petit temps de réflexion puis se dit qu'il valait mieux rester avec Hagrid et partir de chez les Dursleys.


Dernière édition par Harry J. Potter le Lun 2 Mar - 21:36, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 %   ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 % EmptyLun 2 Mar - 17:41

    Harry et Hagrid, après la mésaventure de Dudley avait eût, avaient logés au chaudron baveur, là où Harry avait pu acheter tout ses livres et son matériel pour Poudlard. Hagrid, avait aussi parlé à Harry de ses parents et d'un homme qui serait leur meurtrier et qui se faisait appeler Le seigneur des Ténèbres. Et aussi qu'il avait réduit en miette cet homme. Harry en fut surpris. Comment avait-il pu réduire à néant un homme bien plus fort que lui ? Harry se posait toujours la question. Il la trouverais bien peut-être un jour.

    Le 2 Septembre était arrivé. Hagrid et Harry étaient à présent dans la gare King Cross quand Hagrid regarda sa montre. Il entonna ensuite « Ah mince ! Je suis en retard. Harry. Tiens ton billet pour le train. Voie 9 3/4. ». Harry fut surpris du nombre de la voie. Sa réaction fut immédiate mais Hagrid était déjà partit. Harry chercha alors un contrôleur puis demanda au monsieur « Excusez-moi. Où est la voie 9 3/4 ? ». Le contrôleur qui ne comprenait pas ce qu'Harry disait répondit par une simple « Tu te paie ma tête c'est ça ! »

    La suite avait été enchainée comme tout. Harry avait entendue une femme parler de moldus et il avait donc suivit les membres de cette famille. Puis la femme replète avait présenté Harry à Ronald, son dernier fils. Harry avait eu le temps de faire sa connaissance. Puis il s'était embrigadé dans le mur et avait pu en ressortir intacte. Puis dans le train, Ronald avait demandé s'il pouvait s'asseoir avec Harry, qui avait choisi un compartiment seul dans le train. Harry, avec politesse avait acquiescé. « Alors c'est vrai ? Je veux dire tu a vraiment une ... une ... cicatrice ? », avait demandé Ronald. Harry avait répondit un simple « ah oui ! » puis avait levé ses cheveux en bataille pour montrer sa cicatrice en forme d'éclair. Après environ cinquante minutes de chemin, une jeune fille arriva devant les deux garçons, qui venaient de sympathiser. Elle s présenta et demanda s'ils n'avaient pas vus un crapaud. Puis voyant que Ron allait jeter un sort, elle dit « Oh tu allais jeter un sort ? Montre moi ça ! ». Ronald avait jeté son sort mais celui-ci n'avait pas réussi. La jeune fille qui s'appelait Hermione Granger s'esclaffa : « Ça n'est pas une réussite. Moi j'ai lancé des sorts faciles évidemment et ils ont marchés à chaque fois. Par exemple ! Reparo ! ». Elle avait pointé sa baguette magique sur les lunette de Harry. Les carreaux étaient désormais plus propres. Puis la jeune fille s'était en aller.

    Quand le train s'arrêta à Poudlard, Harry et Ron venait de mettre leur robes de sorciers. Ils descendirent touts deux du train et se retrouvèrent devant Hagrid. « Bonsoir Hagrid ! », avait intimé Harry. Ron, lui n'avait pu exprimer qu'une certaine crainte à la vue d'Hagrid. A l'intérieur du château, une femme d'un âge mûr attendait les élèves. Après avoir annoncé les règles à Poudlard, elle s'était en aller laissant les élèves seuls. Un jeune homme avait alors parlé à Harry se présentant comme Drago Malefoy. Harry avait trouvé ce personnage hautain et lui avait rembarré le chemin.

    Les mois passèrent. Pendant ceux-ci Harry et Ron sympathisèrent encore plus. Hermione était toujours réticente à leur faire confiance au début mais se prit au jeu. Au premier cours de Métamorphoses, Harry et Ron arrivèrent en retard. Le professeur McGonagall, qui était transformée en chat à ce moment leur avait tempestée une correction. Plus tard, Harry, grâce à Malefoy sans aucun doute, put accéder au rôle d'attrapeur de Gryffondor. « Tu dois être le plus jeune attrapeur depuis ... », avait commencé Ron. « Un siècle, d'après McGonagall » avait terminé Harry. Grâce à son talent exceptionnel d'attrapeur, il avait pu aider Gryffondor à gagner les matchs, ce qui n'était pas arrivé depuis de longues années. Au fil du temps, Harry, à travers ses exploits, en apprenait plus sur ses parents. Exemple du fait que son père ait été récompensé comme étant un attrapeur de talent. Harry, Ron et Hermione, peu avant Noël avait eu une mésaventure concernant Touffu, un chien à trois têtes appartenant à Hagrid. De ce fait Hagrid en avait trop dit et il avait parlé de Nicolas Flammel. Pendant les vacances de noël, Harry reçu de la part d'un anonyme une cape d'invisibilité. De ce fait, il avait pu aller dans la réserve chercher des informations sur cette homme à l'identité mystérieuse. Le reste des mois qui fondèrent l'année furent paisibles. Harry, Ron et Hermione comprirent à la toute fin qui était Nicolas Flammel. « Mais oui, c'est ça ! Comment ai-je pu être aussi bête ? Nicolas Flammel est l'unique inventeur de la pierre philosophale ! », avait commencé Hermione. « La quoi ? », s'exclamèrent Harry et Ron en Chœur. « Ça ne vous arrive donc jamais de lire »

    Le soir même, Harry, Ron et Hermione, qui venaient de passer devant Severus Rogue et le soupçonnait, prirent la liberté d'aller voir ce qui se cachait sous Touffu et qui, à coup sûr serait la pierre philosophale. Vers vingt-deux heures, ce soir-là, alors que tout le monde dormait, Harry et ses deux amis descendirent dans la salle commune. Là il rencontrèrent Trevor, le crapaud de Neville en personne. « Écoute Neville... », avait commencé Harry. Mais Neville l'avait arrêté de parole en répliquant « Non. Vous allez encore filer en douce. Je ne vous laisserez pas faire ! Je suis prêt à me battre » ─ il montrait à présent les point. Hermione sortit tout d'un coup sa baguette, la pointa sur Neville puis prononça « Je suis désolé Neville mais il le faut. Petrificus Totalus. ». Neville, sous le coup du sort, s'était pétrifié et était tombé comme un saucisson sur le plancher de la salle commune. « Tu es effrayante des fois. Jt'assure. Brillante, mais effrayante ! », s'était alors exclamé Ron.

    Quelque peu de temps après, nos trois aventuriers se retrouvaient devant Touffu. « La harpe est ensorcelée. Rogue est passé. », avait dit Harry. « Écoutez, je descends. S'il y a le moindre bruit partez. Attendez ... ». « La harpe. Elle n'est plus ensorcelée. », avait dit Hermione. Quelque secondes après, de la bave surgissait d'une des gueule du chien à trois tête et il commença à s'agiter jusqu'à en devenir menaçant. Harry, Ron et Hermione décidèrent donc de passer par la trappe tout les trois ─ trappe où il avaient élevés les pattes de Touffu quelque peu de temps avant. Quand ils tombèrent au fond de la trappe, une chose gluante les ramassa au vol. « Heureusement que cette chose était là pour nous sauver. », avait dit Ron. Aussitôt dit, la plante commençait à enlacer les trois 1ère années. Hermione, elle ne bougeait pas, car elle savait ce qu'était cette chose. « C'est un filet du Diable. Détendez-vous. », avait-elle répliquée. Puis, elle qui était détendue, avait disparue sous la plante. « Hermioneeeee », avaient criés Harry et Ron d'une même voix. « Détendez-vous. », avait hurlée Hermione. Harry prit au mot et arrêta de gigoter. Tout d'un coup, il descendit en flèche sous la plante. Ron restait tout seul là-haut. Hermione parlait à moitié toute seule. « Filet du Diable... Filet du Diable à l'ombre est vivace mais au soleil grimace... Mais oui c'est ça. Cette plante déteste la lumière ! Lumus Solem ! », avait-elle criée. Le temps que Ron sortit de ce capharnaüm et touts trois étaient repartis pour leur course folle. Après le filet du diable, une pièce où étaient enfermées des clés s'ouvrit à eux. Avec une habileté sans pareil, Harry, qui se faisait poursuivre, réussit à trouver une clé qui ouvrait une porte située à l'arrière de la pièce. Et hop encore une pièce. Cette fois-ci, quelque chose de bien différent. Ron reconnu tout de suite la chose puisqu'étant lui-même passionné de ce jeu. Ils se trouvaient touts trois sur un échiquier géant. Nos trois amis pensèrent, naïvement que passer l'échiquier et passer la porte serait une simple affaire. J'ai bien dit naïvement. Non. Ça ne se passe pas comme cela chez les sorciers. Il faut se battre. Il faut gagner et après on a le droit de passer. Ron, encore une fois (décidément très perspicace en ce jour), comprit qu'il fallait jouer une partie. Il demanda à Harry et Hermione de se placer. Hermione à la place de la tour et Harry à la place du fou. Ron lui, prit le soin de choisir une place de talent : le cavalier. « Ron. Tu ne pense pas que cette partie va se passer comme aux échecs version sorciers j'espère ?! », avait demandée Hermione. Elle avait trop souvent vu Ron et Harry jouer à ce jeu totalement stupide qui visait à casser le pions au lieu de les bouger. Pour répondre à sa question, Ron s'écria « Toi là-bas ; va en C3 ». Comme Ron l'avait prévu le pion se déplaça dans la case demandée, sous un crissement de métal. « Je crois que ça va se passer exactement comme les échecs version sorciers ! », avait alors dit Ron. Harry et Hermione avaient alors regardés d'un même œil rond, contemplatif et craintif Ron.

    Au fil de la partie, Harry, Ron et Hermione perdaient touts leurs pions. Puis Harry comprit une chose qu'il n'avait pas saisie jusque là. « Mais attend voir ... », avait-il commencé. « Tu vois Harry. Quand j'avancerais, la reine me prendra et là tu pourra faire échec au Roi ! », avait expliqué Ron. « Non, Ron ! Il doit y avoir un autre moyen ! », s'était exclamé Harry. « Je ne comprends pas ! », avait interféré Hermione. « Il veux se sacrifier Hermione ! », avait explicité Harry. « Non, Ron ! », avait alors criée Hermione. « Tu veux empêcher Rogue de voler la pierre ou pas ? C'est toi qui doit le faire ! Pas moi, pas Hermione, Toi ! », avait répondu Ron. Ton léger dans sa voix. Ton de faiblesse. Ton de peur. Puis, se tournant vers son cheval, il prononça : « Cavalier en H3 ! ». L'inévitable se produit. Ron, conduit par son cheval, s'arrêta à la case qu'il avait demandé. La reine du côté adverse s'avança devant lui, dans un crissement horrible. Harry et Hermione retenaient leur souffles. C'était un suspens insoutenable. La reine arriva devant Ron, sortit son épée et fendit en deux le Cavalier. Sur le coup, Ron hurla et tombait du cheval d'acier. Hermione, dans un élan d'amitié, voulut courir vers Ron. Harry lui avait réfléchit à ce que son Ami avait dit. « Non ! Ne bouge pas. Ron a raison. La partie n'est pas finie ! », s'était-il écrié envers Hermione. Le Survivant s'avança jusqu'au Roi, qui désormais n'avait plus aucune défense. A mi-hauteur de celui-ci, il s'écria « Échec &&. Mat ». Harry regarda le Roi. Son épée tombée par terre, il put enfin aller à la rescousse de Ron, Hermione fit de même. Après de brèves explications entre les deux amis, Harry expliqua qu'il devait continuer seul. Il expliqua à Hermione qu'elle devait envoyer un hibou à Dumbledore... « Tu es un grand sorcier Harry ! », avait alors dit Hermione, réconfortant quelque peu notre héros. « Pas autant que toi ! », avait alors rabibochée Harry. « Moi j'ai tout appris dans les livres. Mais il y a des choses plus importantes encore ! L'amitié, le courage ! ».

    Après être parti de l'échiquier géant, Harry n'eut grand mal à trouver le chemin. Il trouvait des escaliers, les descendit. Au bas, se trouvait un Homme. Harry croyait voir Rogue mais non. L'homme le plus inoffensif selon Harry du château se tenait là devant lui. Devant le Miroir du Risèd. Harry, arrivé à mi-hauteur des marches, s'exclama : « Vous ?! ». C'était une surprise pour Harry. Cet homme, que Harry aurait pu considérer comme sympathique, s'il n'était pas aussi froid, était donc celui qui en voulait à la Pierre Philosophale. La première fois qu'Harry avait rencontré cet homme quelque peu étrange, il était avec Hagrid au Chaudron Baveur. Quirell n'avait même pas pris la peine de lui serrer la main. Mais Harry ne l'avait pas trouvé étrange plus que ça. Pourtant, c'était lui qui était devant lui, ce soir. Harry avait toujours pensé à Rogue. Rogue. Un être aussi étrange que Quirell, voir quelque peu plus. Dès le premier cours de Potions, lui et Harry avaient été en froid. Harry n'avait jamais compris pourquoi. Et pourtant, Rogue n'en voulait pas à la pierre. Étrange...

    La suite s'enchaîna tellement vite qu'Harry eût presque l'impression que la scène se déroulait en avance rapide. Puis vint le moment où Quirell montra à Harry la chose qu'il cachait sous son turban violet, qu'il n'enlevait jamais. Lord Voldemort. Son ennemi juré. Enfin il était supposé l'être. Voldemort montra au Survivant une image de ce qu'il appelait la conception du monde. Harry se voyait à travers le miroir du Risèd, ses parents d'une par et d'autre de lui. Harry crut une seconde que cette réalité pourrait exister mais ce rendit bien assez tôt que cette vérité était un leurre. Voldemort était décidément très convainquant. A travers ses lunettes rondes, Harry aperçu le regard de Voldemort quand il s'exclama « Vous mentez ! ». Harry essaya de s'échapper mais ne voulut pas se faire carboniser à travers les flammes qui ornaient désormais la pièce. Voldemort intima l'ordre de tuer Harry à son sous-fifre. Mais Harry était empreint à une magie que Voldemort n'aimait pas. Une magie très ancienne. L'amour. Ainsi, Quirell ne put toucher Harry et en perdit la vie tandis que Voldemort s'échappait. Mais la Pierre dans tout ça. Harry l'avait soigneusement cachée dans sa poche alors que le miroir du Risèd lui avait offert.


Dernière édition par Harry J. Potter le Jeu 5 Mar - 15:02, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 %   ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 % EmptyLun 2 Mar - 17:41

    A son réveil ─ car oui, il avait perdu connaissance ─ Harry se retrouva à l'infirmerie. Il trouva devant lui une multitude de cadeaux. Décidément, l'école avait été mise au courant. Dumbledore s'avança alors vers lui. Pendant près de dix bonnes minutes, ils échangèrent des paroles sur la Pierre, Nicolas Flammel, Touffu ou encore la cape d'invisibilité. Harry comprit le lien qui les unissaient lui et Voldemort concernait le fait qu'Harry fut protégé par sa mère à la naissance. Preuve d'amour. Preuve que Voldemort était incapable de sentiments humains.

    Après cette courte entrevue, Harry avait décidé d'aller voir Hermione et Ron. Le soir même devait avoir lieu les résultats de la coupe des 4 maisons. Au vu des infractions qu'Harry, Ron et Hermione avaient commis à eux trois, la coupe reviendrait une fois de plus aux serpentards. Désolant quand on sait que ces vipères sont de vrais crapules. Bref. Harry sortit de l'infirmerie et eût une surprise de choc en voyant que Ron et Hermione, papotant l'attendaient sur l'escalier du haut. « Ça va Ron ?! », avait demandé Harry. « Bien et toi ?! », avait répondu d'une voix assurée Ronald. « Parfait. Hermione ?! », avait repris le Rouge et Or. « On ne peut mieux ! », avait répondu Hermione, un large sourire se dessinant sur ses lèvres.

    Le soir-même, Harry, Ronald et Hermione se retrouvaient pour le grand soir dans la Grande Salle0. Comme prévu évidemment, les couleurs de Serpentards ornaient la Grande Salle, puisqu'ils avaient évidemment gagnés la coupe. Mais Dumbledore, après avoir félicité les Serpentards qui hurlaient de joie continua « Bravo Serpentards, bravo Serpentards, cependant j'ai quelques point de dernière minutes à distribuer ! »
    « A Monsieur Ronald Weasley, qui nous a montré la plus belle partie d'échecs que l'on ait vu à Poudlard depuis de nombreuses années. 50 Points ! ─ Applaudissement bruyants de la part de toutes les tables sauf celle de Serpentard évidemment ─ A miss Hermione Granger, pour le courage et l'intelligence dont elle a fait preuve, 50 points ! ─ de nouveaux applaudissements surgir de toute part. ─ A monsieur Harry Potter, pour le courage et la loyauté dont il a fait preuve, j'accorde à la maison gryffondor : 100 points ! » ─ Une foulée d'applaudissement supplémentaire surgit de toute part. ─ Hermione, décidément très très intelligente s'exclama « On est à égalité avec Serpentards ! ». Dumbledore reprit la parole. « Et enfin à Neville Londubat qui nous a montré qu'il était plus difficile de se battre contre ses amis que contre ses ennemis. J'offre donc 10 points à la maison Gryffondor. » Un sourire apparut sur les lèvres d'Harry. Pour la première fois, il fut content d'être enfin reconnu. Neville, lui était abasourdi de sa victoire. Un changement de décoration fut effectué et Gryffondor ornait désormais la pièce. Les gryffondors furent victorieux à ce moment !


Dernière édition par Harry J. Potter le Jeu 5 Mar - 16:53, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 %   ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 % EmptyJeu 5 Mar - 3:37

    Harry était seul dans sa chambre. Hedwige, son oiseau qu'il adorait tant bougeait un peu trop dans sa cage. Harry la rassura « Tu sera bientôt libre. ». Mais il n'eut pas le temps de dire un mot de plus que Vernon Dursley lui avait déjà hurlé « Potter ! Viens là ! » ─ voix tonitruante et toujours aussi blafarde d'un homme qu'Harry détestait. Harry, las de toute ces interpellations là et là pendant toutes les vacances, posa son album photo ─ offert par Hagrid ─ sur son bureau et se leva. Il descendit lentement jusqu'à arrivé devant la famille Dursley. « Ne sort pas de ta chambre ce soir ! », dit Vernon avec sévérité. « Très bien. Ce sera tout ? », demanda Harry. Il était presque hilare de la scène. Vernon et Dudley s'habillaient de leurs nœuds papillons et Pétunia essayait de trouver la moindre petite poussière. Harry s'en alla.

    Il détestait toujours autant la famille Dursley même si elle avait fait preuve de justice et lui avait offert une chambre au lieu de son placard à balais. Il aurai préféré rester à Poudlard. Quand il revint, il fut surpris de découvrir que quelqu'un se trouvait là sautillant. On aurait dit un des lutins qu'on dit exister chez le père noël. Il était petit, menu et très mal habillé. Créature difforme. Mal habillée et très sale. Un sourire sur les lèvres, prononçant des mots. Deux grandes balles de tennis en guise d'yeux. Quand Harry arriva devant lui, la créature se stoppa nette. Intrigué ─ évidemment ─ Harry demanda « Qui-êtes vous ? ». L'elfe en guise de réponse se contenta de dire son prénom et un monsieur. Il s'appelait Dobby. La suite de l'échange se passa entre paroles et coups d'objets à la tête. Dès que Dobby disait quelque chose, apparemment mal, il se frappait la tête. Dobby disait à Harry de ne pas retourner à Poudlard, car un danger le guettait, un grand danger. Harry bien sûr trouvait l'idée absurde puisque Poudlard étant le seul endroit où il se sentait chez lui. Alors Dobby fit quelque chose qu'il allait regretter un jour ou l'autre, Harry en fut certain. Il descendit au rez-de-chaussée, où l'oncle Vernon, sa femme et son fils recevaient leurs invités. D'un claquement de doigts, il fit surélever le gâteau et demanda à Harry « Promettez-moi de ne pas aller à Poudlard ! ». Harry bien sûr répondit négativement. Alors Dobby se tourna vers le gâteau et le fit avancer. Il le fit avancer par magie jusqu'au dessus de la tête de la femme qui tenait place d'invitée. Puis d'un autre claquement de doigt, il fit tomber le gâteau. Quelques minutes plus tard, Dobby partit et Harry dans un sale pétrin, les Dursleys n'avaient plus d'invités. La nuit fut brutale pour Harry. Il repensait à ce que ce Dobby lui avait dit. Puis Dobby lui avait fait croire que ses amis ne lui faisait plus de lettres... Tout cela trottait dans la tête du garçon.

    Le lendemain, Vernon décida que Harry n'irait plus à Poudlard. Pour l'y obliger, il construisit des barreaux à sa fenêtre.. Harry ne pouvait plus sortir de sa chambre que pour se laver et manger et il était enfermé tout le temps. La nuit arriva. Harry dormait quand il entendit un bruit, un pot d'échappement vibrait. Il regarda à la fenêtre et découvrit qu'une voiture arrivait, volant dans les airs. Il n'avait jamais vu ça et c'était assez surprenant. La voiture arrivait devant lui. Puis elle s'arrêta en biais et trois têtes d'un roux intense se firent découvrirent. Il y avait Fred, Georges ─ les deux jumeaux de la famille ─ et Ron Weasley. Harry fut surpris de les voir. Il demanda « Qu'est-ce que vous faites là ? »
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Minerva McGonagall
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MessageSujet: Re: ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 %   ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 % EmptyDim 5 Avr - 12:21

    Cela fait exactement 1 mois que nous n'avons pas de tes nouvelles.
    Souhaites tu poursuivre cette fiche? :)
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Minerva McGonagall
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MessageSujet: Re: ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 %   ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 % EmptySam 18 Avr - 12:28

Toujours pas de nouvelles.
Ta fiche est donc envoyée dans celles abandonnées.
Nous restons à ta disposition si tu veux la reprendre pour la poursuivre Wink
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MessageSujet: Re: ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 %   ─ The Boy Who Lived - Harry Potter - 65 % Empty

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