NOM - &&. On ne connait pas vraiment les Hathaway. Qui sont-ils ? D’où viennent-ils ? On se demande bien d’où peut venir ce nom car les derniers Hathaway, qui vivaient ici, parmi les Sorciers, sont touts mort début XVIIème siècle. Grande famille d’Aurore, ce nom c’est brusquement éteint lors d’une violente attaque. Pourtant, trois cent ans plus tard, Maxine Brittany apparait, une descente directe Hathaway… PRENOM - &&. Maxine, parce que sa mère voulait un garçon. Au départ, ça aurait du être, Maxime. Juste Maxime. Puis Brittany, c’est son mystérieux père qui le lui donna. Pourquoi ? Un vieux souvenir ? Elle-même l’ignore, ce dernier les ayant abandonnées lorsqu’elle avait à peine quatre ans. Autant dire que Maxine ne le porte pas vraiment dans son cœur. DATE DE NAISSANCE - &&. Récemment, la danseuse Pietragalla racontait que le goût de la danse lui avait été donné par une série télévisée restée célèbre: "L'âge heureux". Diffusée à partir du 12 février 1966, cette série faisait partager, pendant plusieurs années, aux petites filles mais également petits garçons, la vie dont certains rêvaient: petit rat à l'Opéra à Londres... C'était parfois naïf, souvent dur mais ils y croyaient et il fut vrai que beaucoup d'enfants voulurent apprendre la danse classique à l'époque par le seul effet de cette série...Peu, si peu, poursuivirent mais cela leur laissa adulte cette élégante allure souple, celle de la tête tenue droite et haute, cette aspiration à toujours faire mieux et un certain sens de la rigueur, autant de qualités qui devaient les servir ou les faire à jamais souffrir de ne pas être parfaits. Vous vous souvenez ? Maxine en tout, s’en souviens parfaitement bien… c’était le jour de sa naissance AGE - &&. Son cerisier ne contient encore que 27 cerises. SIGNE ASTROLOGIQUE - &&. Le verseau est hors monde, original et indépendant. Il tient avant tout à sa liberté. Il est très intelligent, comprend très rapidement et plus rapidement que les autres. Il pense à certaines idées avant tout le monde, c’est un avant gardiste et donc parfois malheureusement un incompris. Il n’a pas peur d’explorer des voies nouvelles, et de s’écarter de ce qui lui a été traditionnellement appris, des croyances généralement admises, et parfois se fait très mal voir. LIEU D’HABITATION - &&. Maxine vit dans un immense appartement sur deux étages en pleins cœur de Londres, sur l’une des plus grandes avenues : Oxford Street. A ses pieds, plus de trois cents magasins qui n’attend qu’-elle lorsqu’elle reçoit sa paie de fin de mois.
COMPOSITION DE LA BAGUETTE MAGIQUE - &&. Flexible et remarquablement efficace pour les métamorphoses, sa baguette est fait en bois de prunellier, symbole de la force dans l'adversité. Mesurant 27,5 cm, elle contient en son centre un ventricule de cœur de dragon. CAMP - &&. Neutre-Influençable… METIER - &&. Officiellement, Maxine est un grand médicomage. Elle prend toutefois son métier légèrement à la légère même si elle adore ce qu’elle fait. Ca la passionne tout comme son deuxième métier, car officieusement Maxine est aussi à la tête d’un site très populaire au sein du monde Sorcier. Narrateur anonyme, elle détient tous les derniers potins et les partage sur son site internet : La Plume a Papotte Enchaînée TYPE DE CREATURE - &&. Elle aime les glaces, les bains de soleil, les bonbons acidulés, les cocktails et les cappuccinos. Mais d’après sa mère, elle n’est pas vraiment humaine. Ce qui la différencie des autres ? Un besoin de se boire à chaque fin de semaine un Bloody Love Sensation. Damphyr, voilà ce qu’elle est. DON PARTICULIER - &&. Fouineuse Professionnelle.
_
&&]] H.J : V.O.U.S
Age :: 21 ans Niveau de RP :: Faut voir Présence /7 :: 5/7 Personne sur votre avatar :: Megan Fox Code du Règlement :: Kodak Comment nous avez-vous connus :: Acide Edulcoré
Dernière édition par Maxine Br. Hathaway le Jeu 29 Jan - 21:22, édité 1 fois
InvitéInvité
Sujet: Re: Not even dream... - en cours - Jeu 29 Jan - 21:16
>> Extrait de la Plume a Papotte Enchaînée
Pouvoir sexuel des Femmes (23 : 19)
Qui ne s’est jamais interroger sur le pouvoir sexuel, que nous, les femmes, nous pouvons avoir ? Moi, en tout cas, je voulais savoir si on pouvait utiliser sa sexualité dans un but d’enrichissement personnel. Je pense avoir été directement confronté au problème en rencontrant un architecte… homme de la trentaine, avec qui tout se passa parfaitement bien. C’était il y a cinq jours. Comme toutes femmes dépensières qui se respectent, une fois ma paie en main, j’étais partit me faire une petite virée des grands magasins avec les filles. Rien de très méchant : coupe de cheveux, manucure, centre de remise en forme, shopping et restaurant Français. Montant de la journée : 1 108 $. Rien de bien méchant, surtout en cette période de solde. Et puis il faisait beau ! C’était d’autant plus tentant de s’acheter de la lingerie fine ainsi que des vêtements légers, le tout accompagnés par d’agréables escarpins de toutes les couleurs : roses, bleus, jaunes, roses, verts, violets, noirs, gris, blancs… Bref, les filles et moi, on s’étaient quitter quelques heures plus tard au carrefour d’Oxford Street, nos paquets roses bonbons et fuchsia en mains. J’étais plus que soulagé de les quitter ! J’en pouvais plus avec mes pieds tout ratatinés étroitement chaussé sur douze centimètres de talons aiguilles. Il était plus que temps de rentrer, quoiqu’il fût pour moi quelque peu laborieux de rentrer chez moi. Je peinais à avancer, m’arrêtait dès que j’apercevais un banc histoire de pouvoir masser mes pieds rouges vifs pendant quelques minutes. A ce moment là, j’aurais donné n’importe quoi pour avoir de bonnes vieilles basquettes aux pieds. Je n’ai pas l’habitude de porter des talons hauts durant des heures mais c’était une vieille tradition de s’habiller de façon très huppée lorsqu’on sortait faire les boutiques. Et puis je me trouvais suffisamment grande comme ça, pas besoin de se torturer avec tout ça durant toute une journée à piétiner. 1m75… c’était déjà pas mal… La bouche sèche, je me demandais si je n’allais pas mourir de déshydratation sur le perron de mon immeuble, que j’avais atteins très péniblement, les pieds en feu. D’ailleurs j’avais trébuché sur la dernière marche et si quelqu’un ne m’avait pas rattrapé par le bras tout en me débarrassant de tous mes cartons qui m’empêchaient de voir ce qui se passait devant moi, je me serais sûrement manger le béton de la dernière marche. Ecartant ma masse de cheveux de devant mes yeux, je suis restée durant une longue seconde à fixer un jeune homme dans la trentaine au sourire ravageur. Et bien étrangement, tout à coup, je n’avais absolument plus mal aux pieds et ne ressentait plus aucune fatigue, ni de soif. Son sourire me rendait complètement mièvre et il était beau et puis à en juger par ses vêtement, il devait posséder un sacré portefeuille, un très gros même. Tout pour me plaire… Jeremy Scott Tompkison, trente et un an exactement, architecte de renom, vivant à Paris même, face à la Dame de Fer et se trouvant dans le quartier pour affaire. Mon fantasme devenait enfin réalité et il se tenait juste devant la porte de mon immeuble. Ce dernier me permit de rentrer chez moi un peu moi fatigué et avec un rendez-vous en poche pour demain soir. Je ne suis pas du genre à attendre durant des mois avant de passer à l’acte avec un homme. C’est mon mode de vie. Je vis au jour le jour ma vie tout comme mes relations ‘amoureuses’ qui ne durent qu’un lapse de temps très court. Donc, pour revenir à notre cher Jeremy Scott Tompkison ; celui-ci logeait en plein cœur de l’élégant quartier Mayfair dans l’un des plus luxurieux et élégant hôtel de Londres. Il fut donc tout naturel que ce dernier m’invite à venir manger dans cet hôtel. Pour ce soir là, je m’étais mis sur mon 31 ! - moi qui d’habitude adore mes vieux jeans usés jusqu’à la trame et complètement délavé avec mes tee-shirt d’une banalité affligeante et mes bonnes vieilles basquettes - Je m’étais épilées, crémée, parfumé, passée une robe blanche à bretelle de chez Karen Millen, ceinturée à la taille par une large ceinture blanche, tombant pile poils au dessus de mes genoux avec des escarpin à bride en cuir verni noir de chez Victor Hugo* Cheveux savanement décoiffés, maquillage léger… j’étais fin prête et très impatiente de le retrouver ! Toutefois, je me permis d’arriver avec dix bonnes minutes de retard, une très mauvaise habitude que j’ai prise et j’arrive très rarement à l’heure aux rendez-vous… Jeremy Scott Tompkison était, quant à lui, à l’heure. Il m’attendait à une table un peu reculé des autres. Maintenant que j’y repense j’aurais très facilement put tomber amoureuse de lui, tant tout en lui me plaisait. Son sourire, sa douceur, sa galanterie, son sens de l’humour, son sourire… enfin bref, je buvais toutes ces paroles, l’écoutait plus que je ne parlais, moi qui suis en général un véritable moulin à parole. En gros, j’étais sous le charme et tout était absolument parfait ! Peut-être un petit peu trop même… Le dîner s’éternisa jusqu’aux douze coups de minuit et je venais de passer une excellente soirée mais celle-ci atteignit son apothéose lorsque je m’endormis paisiblement dans les draps froissés de son immense lit à baldaquin de sa chambre d’hôtel. J’étais totalement collé à lui, impossible de laissé partir ma perle rare. Je n’avais absolument pas envie de le laisser partir aussi facilement, parce que pour le moment, il était mon Prince Charmant. Je ne tombe pas facilement amoureuse mais je tombe très facilement sous le charme des beaux jeunes hommes, et surtout de leur gros portefeuille. Moi avare ? Absolument pas. Je m’assure juste un avenir confortable… En tout cas, mon comte de princesse aurait put continuer longtemps ainsi, j’en étais absolument sur à ce moment là ! Enfin, ça, c’était sans compter le lendemain matin oui il me remercia très gentiment de mes bons et loyaux services avec une enveloppe de 700 livres…
Je ne suis pas sur de vouloir y repenser… mais pour qui m’a-t-il prit ce pervers là ?! Je ne fais pas partit de celles qui vendent ou offrent leurs services et leurs charmes aux plus offrant ! Mais quand j’y repense et que je relativise… je pense l’avoir tout de même un tout petit peu chercher… j’ai d’un certain coté, je pense, cherché à affirmer mon pouvoir sexuel sur lui, pour être sur de le retenir quelques temps dans mes filets avant de m’en lasser… et cet aventure n’est en rien un enrichissement personnel, croyez moi. C’était juste… avilissant. Mais plus j'y repense, plus je trouve que cet articule me décrit vraiment très bien...
Toutefois attention mes très chers petites lectrices – et mes lecteurs aussi, pour ceux qui en seraient intéressés – au moment même ou je vous écris ce message, un certain Jeremy Scott Tompkison âgé de trente et un an, architecte français de renom, se ballade dans nos rues et prend toutes femmes pour de vulgaire péripatéticienne !
A demain ! Votre Plume a Papotte _________________ * Pour toutes celles qui seraient intéressées par la grande couturière Karen Millen, laissez moi un message mes chatons
Stan Rocade
{ Admin - Pas fou, juste... Crétin.
Messages : 1566 Age du joueur : 31 Localisation : Je suis Dieu. Où crois-tu que Dieu soit actuellement ? Age du perso. : 18 ans Date d'inscription : 16/10/2008
- LEGILIMENS - Relations: Profession / Année: Contrôleur du Magicobus Aspiration: Romance & Amours (priorité à la chasse)
Sujet: Re: Not even dream... - en cours - Jeu 12 Fév - 20:28
Bonjour, Où en es-tu avec ta fiche ? Est-elle finie ?
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Not even dream... - en cours -
Not even dream... - en cours -
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Accueil 
Dernières images 
NOM - &&. On ne connait pas vraiment les Hathaway. Qui sont-ils ? D’où viennent-ils ? On se demande bien d’où peut venir ce nom car les derniers Hathaway, qui vivaient ici, parmi les Sorciers, sont touts mort début XVIIème siècle. Grande famille d’Aurore, ce nom c’est brusquement éteint lors d’une violente attaque. Pourtant, trois cent ans plus tard, Maxine Brittany apparait, une descente directe Hathaway…
