#. Eloge de la folie
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 La boite de Pandore.

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Pandore V. Cartwright
5ème année - Les BUSE vont vous faire pleurer !

Pandore V. Cartwright
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MessageSujet: La boite de Pandore.   La boite de Pandore. EmptyLun 22 Déc - 23:37



    La boite de Pandore. Pandore1


    Pandore pleure, Pandore souffre.

    Par sa faute tous les maux de la Terre se sont échappés et
    ils frappent encore et encore, tous les mortels vivant sur la
    planète. Et bien qu'elle est en elle, un pur égoïsme, il se
    trouve que ces maux s'attaquent également aux personnes
    qu'elle aime, et à sa propre personne.

    Alors Pandore verse des larmes sur son oreiller, tout en
    pensant à la catastrophe qu'elle a provoquée, et que, jamais
    personne, ne pourra réparer. Par sa faute, l'humanité souffre,
    et par manque de chance, elle souffre avec elle.

    Alors il ne reste plus qu'à Pandore ses yeux pour pleurer, et
    son âme pour souffrir, l'espérance s'étant éloignée d'elle,
    depuis de nombreuses années. Oh oui, il paraît qu'elle serait
    la seule à avoir été épargnée de la vilaine curiosité de
    Pandore... Mais Espérance, toi qui doit nous aider à vivre,
    ou plutôt à survivre... Oui toi, Espérance, où es-tu ? Car
    Pandore ne t'aperçoit nul part, pour son plus grand malheur.



Dernière édition par Pandore V. Cartwright le Mar 23 Déc - 0:01, édité 1 fois
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Pandore V. Cartwright
5ème année - Les BUSE vont vous faire pleurer !

Pandore V. Cartwright
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MessageSujet: Re: La boite de Pandore.   La boite de Pandore. EmptyLun 22 Déc - 23:40



    FICHE DE PRÉSENTATION - ELÈVE

      NOM : Cartwright.

      PRÉNOM(S) : Pandore, Veronica. Son prénom lui vient de sa mère, qui a toujours eu une réelle fascination pour la mythologie grecque. Et avec le temps, on a pu s'appercevoir, que la Pandore de la myhtologie, et notre Pandore à nous n'avait pas que leur prénom en commun, bien en contraire.

      ÂGE/ANNÉE : Cinquième année.


Dernière édition par Pandore V. Cartwright le Lun 22 Déc - 23:53, édité 1 fois
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Pandore V. Cartwright
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MessageSujet: Re: La boite de Pandore.   La boite de Pandore. EmptyLun 22 Déc - 23:43



    CHAPITRE I :: « DU CHAOS NAÎT UNE ETOILE. » - CHARLIE CHAPLIN

      La boite de Pandore. Ohpaintbrush_set25-033


      Découvrez Julie Zenatti!



        « Je suis une petite étoile d’envie, une petite étoile morte avec le temps. Je ne regrette rien dans mes choix, mes actions, mais bien sur, si j’avais le choix de recommencer, je changerais bien des choses. Je suis un peu lente de nature, je prend toujours les mauvaises décisions, pour me rendre compte de laquelle était la bonne. On a tous nos défauts après tout. Je ne vous demande pas de me plaindre, de toute façon vous n’y arriveriez pas. Que les apparences soient belles vu qu’on ne juge que pas elles, tel est ma philosophie. Seulement, celles-ci, ne reflètent jamais qui l’ont est réellement. Je ne suis qu’un petit mystère, un petit secret, garder précieusement par une serrure, ou la seule clef qui aurait pu l’ouvrir, a été égarée par moi-même. Je m’enfonce, je le sais, j’ai peur, bien sur que j’ai peur. Mais je ne veux pas d’aide, je refuse toutes les mains qu’ont me tend, parce que je veux y arriver toute seule, bien que je sache, que ce n’est qu’une cause perdue. Pandore. Un prénom avec toute son histoire. La décadence, l’envie, les interdits, les pleurs, tout se mêlent, et rien n’en ressort. Ma vie n’est qu’une suite d’échecs, mais je les assume, et vous savez quoi ? Je dors très bien. Amen. »

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MessageSujet: Re: La boite de Pandore.   La boite de Pandore. EmptyLun 22 Déc - 23:44

      « ET MA NAISSANCE FUT LE PREMIER DE MES MALHEURS. »
      JEAN-JACQUES ROUSSEAU. LES CONFESSIONS.



      « Je suis sincèrement désolée Mr Cartwright, mais votre femme n’a pas supportée l’accouchement. Elle était très malade, et que sa grossesse soit arrivée a terme est déjà un miracle. »

    Bam. Les paroles du médecin résonnaient encore et encore dans la tête, du jeune époux. Morte. Elle était morte. Il ne reverrait plus jamais aucun de ses sourires, plus jamais il n’entendrait son rire, si doux pourtant. Il savait qu’ils n’auraient jamais du avoir cet enfant, après tout, ils étaient encore jeunes. A peine vingt ans, et toute la vie devant eux. Mais Veronica, sa douce Veronica, avait insistée pour le garder, cet enfant, disant que c’était le destin. Ils auraient du former une vraie famille, tu parles. S’avançant doucement dans la chambre d’hôpital, il vit alors le corps inerte de sa femme, comme si celle-ci dormait paisiblement, dans ses draps blanc. Belle illusion. Elle était partie, et elle ne reviendrait plus. Les anges l’avait volée, et ils la conserveraient à tout jamais dans leur paradis. La vie était si injuste, et Pandore ne savait pas encore à quel point. Qu’on le veuille ou non, elle ne nous faisait jamais de cadeaux. De longues minutes s’écoulèrent, où Peter, le père de la jeune Pandore, se contenta de serrer la main froide de sa défunte femme, dans les siennes, encore emplit de vie. Pas un seul instant, il ne se préoccupa de son « enfant ». Non. Pandore, n’était pas venue une seule fois s’imisser dans ses pensées, où il n’y avait de la place que pour sa belle Veronica. Silence. Passant doucement ses doigts dans les cheveux blonds de son épouse, il fut bientôt tiré malgré lui de sa torpeur, par une jeune infirmière qui venait de faire irruption dans la chambre d’hôpital. Dans ses bras, un bébé emmitouflé dans une grosse couverture. Silence. S’avançant encore de quelques pas, elle vit alors le père de la petite, se lever, et la regarder d’un air ahuris, comme s’il en avait oublié, qu’à présent il était père. Déboussolée, par ce comportement, la jeune infirmière fixa le sol durant quelques secondes, avant de reprendre la parole, doucement.

      « Mr Cartwright, comment souhaitez vous nommer votre fille ? »

    Quoi ? Il fallait un prénom à quoi ? Ah oui. S’asseyant doucement sur la chaise la plus proche de son corps, le jeune père, avait du mal à comprendre réellement ce qui se passait en ce moment. Il devait être un père, il devait aimer un enfant qu’il n’avait jamais voulu. Un enfant qui en venant au monde avait pris la vie de sa femme. Pourquoi ? C’était si injuste dans l’esprit déconcerté du jeune homme. Et puis comment est ce qu’il allait l’appeler ? Il n’en n’avait aucune idée. Veronica, en deuxième prénom, c’était une certitude. Mais le premier, rien ne lui venait en tête. Puis, il se souvint que Veronica avait une réelle passion pour tout ce qui était de la mythologie grecque, qui était d’origine moldue, elle, bien qu’elle est fait ses études à Poudlard, lieu de leur rencontre. Pandore. Ainsi elle porterait dans son prénom la culpabilité de la Pandore grecque, car avec elle, elle avait ammenée la mort, qui en premier avait emporté l'âme de sa Veronica.

      « Pandore Veronica Cartwright. »

    La jeune infirmière acquiéça alors d’un léger signe de tête, puis déposant avec douceur le bambin dans son lit à la maternité, elle prit un bracelet, sur lequel elle nota le prénom de la donc dénommée Pandore, puis l’attacha a son petit poignet. Silence. Les heures passèrent. Puis les jours. Et son père n’était toujours pas venu la voir à la maternité. Enfin, au bout de quatre jours peut être, il remit les pieds dans l’hôpital, embarquant la petite Pandore avec lui, il tirait alors un trait, sur le pire lieux où il avait pu mettre les pieds. Là, ou sa femme s’était éteinte. Fou amoureux, il verra qu’avec le temps, il ne s’en remettra jamais. Silence. Les mois passèrent, puis ce fut les années. D’une famille très riches, Pandore à sa naissance, hérita de toute la fortune de sa mère, mais son père n’était pas à plaindre non plus, et elle eu donc une enfance, emplit d’argent. Avec des tétines en argent, des habits de hautes coutures, et autres futilité. Seulement, il lui manquait l’essentiel. L’amour. L’amour de sa mère qu’elle n’aura jamais, l’amour de son père, que celui-ci ne lui donnait pas. En effet, Pandore avait à présent grandit. Et elle ressemblait étonnement à sa mère, ce qui renforçait son père, dans l’idée que c’était de sa faute, si sa femme était morte. Silence.

    Déjà plus petite que les autres enfants de son âge, dans l’environnement dans lequel la jeune enfant évoluait, elle était la beauté en personne. Ressemblant à sa mère, comme si ce n’était que son reflet, tout le monde s’extasiait devant son visage angélique. De jolies boucles d’un blond foncés, qui descendent en cascades sur ses épaules, de beaux et grands yeux verts, une peau pâle, des traits fins, et une bouche rosée. Le portrait craché de sa mère, voila ce qui sortait des bouches de toutes les personnes qui ont connue Veronica et qui a présent voyaient Pandore. Seulement, personne ne l’aimait réellement. Non. Elle n’était que la jolie blonde, la belle descendante de Veronica, qui avait raflée toute la beauté de sa mère. Alors les questions se posaient quand à son avenir, mais personne ne se souciaient jamais de son présent. Il faut croire que les adultes, avaient ce don qui est de ne jamais penser aux choses importantes concernant les enfants, et de toujours s’attarder sur de belles futilités. Un soir, alors que Pandore avait du encore supporter toute ces petites vieilles, qui la complimentait sur sa beauté, et qui lui traçait son avenir alors qu’elle n’avait qu’a peine quatre ans, elle tira doucement sur la manche de son père, avant d’engager un semblant de conversation.


      « Papa, parle moi de maman. »
      « Tu l’as fait mourir. »

    Les larmes montèrent alors en une fraction de seconde, aux yeux de la jolie petite blonde. Elle n’acceptait pas que son père lui dise de telles méchancetés, avec autant de détachement. Celles-ci se mirent alors a coulées doucement sur ses joues pâles en silence. Plongeant son regard émeraude dans le marron de son père. Pourquoi est ce qu’il était si méchant ? Elle n’avait rien fait, rien demandé à personne. Silence. Essuyant ses yeux embués de larmes à l’aide de ses manches, elle renifla un instants, avant de replonger toute son attention sur son père.

      « C’est pas vrai… Pourquoi tu dis ça ? Ce n’est pas gentil… »
      « Et toi Pandore ? Tu es gentille ? Tu as tuée ta maman en venant au monde, nous ne te voulions même pas. Tu n’es qu’une erreur. Une erreur qui lui a coûtée la vie. »

    Et voila que le père se mettait également à pleurer, mais seuls ses pleurs avaient de l’importance pour lui, et ceux de Pandore, il n’en n’avait que faire. Ce n’était pas sa fille dans son esprit, dans son cœur. Il la trouvait mignonne, gentille, mais voila, l’amour n’était pas là, il fallait se l’avouer. Tapotant l’épaule de la fillette, il la convia à s’asseoir dans un des fauteuils dans le salon, puis sortant un album photo sorcier, il le tendit à Pandore, qui le prit doucement avec ses mains. Délicatement, elle ouvrit, et elle vit alors pour la première fois à quoi ressemblait sa mère. Ils avaient tous raison en fin de compte, elle lui ressemblait énormément, au point même qu’elle aurait pu être d’un autre père, qu’on ne l’aurait même pas remarquée. Tout, absolument tout lui venait de sa mère, comme si elle l’avait fait toute seule, sans l’aide du père. Les larmes devinrent alors de plus en plus nombreuses sur ses joues. Elle aurait tellement voulue la connaître, la patience, l’amour, la perfection se lisait sur le visage magnifique de Veronica. Mais non, au lieu de la garder précieusement près d’elle, il avait fallut qu’on lui retire, et qu’en plus son père l’en tienne responsable. La vie n’était qu’une suite d’injustice. Il n’y avait pas d’avenir. Ce n’était que le prolongement de nos malheurs passés. Elle ne se contentait plus de regarder simplement les photos, c’est comme ci elle voulait les graver sur sa rétine pour être de toujours s’en souvenir, au cas ou son très cher père, ne souhaiterais plus les lui montrer. Relevant son regard mouillé vers la silhouette de son père, elle avala difficilement sa salive, avant de reprendre une nouvelle fois la parole.

      « Papa, est ce que tu… tu crois qu’elle aurait été fière de moi ? »
      « Comment veux tu que je le saches, elle n’est plus là Pandore, met toi ça dans le crâne. Tu l’as tuée, le jour ou tu es venue au monde, et je ne peux même pas faire mon deuil, car en te voyant… En te voyant je revois ta mère. C’est une souffrance perpétuelle. Tu n’apportes que des malheurs Pandore. Si tu tiens aux gens, alors tiens toi a l’écart, ou tu gâcheras leurs vies, comme tu as pu détruire la mienne, et celle de ta défunte mère. »

    Vous vous imaginez entendre des paroles aussi dures à seulement quatre ans ? Silence. Comme quoi il n’y avait pas d’âge pour souffrir. Fermant d’un coup sec l’album photo, elle le serra contre son petit corps fluet, avant de courir, vers la sortie. Montant les escaliers en vitesse, elle s’enferma alors ,en claquant la porte, dans sa chambre. Se jetant de tout son poids sur le lit, elle laissa ses larmes coulées, son chagrin se déverser dans de simples perles de pluies. Alors qu'elle vidait sa peine sur son oreiller elle entendit comme un bruit sourd. Prenant peur, c'était comme si son père avait balancé une chaise dans la pièce. Elle ne descendit pas tout de suite, s'enterrant sous sa couette, elle attendait le moment ou il viendrait pour la frapper, comme à chaque fois. Parce qu'elle était la seule et unique responsable pour la mort de sa mère. Du moins c'est ce que pensait son père, et ce qu'il tentait désespérement de faire admettre à sa fille. Silence. Retroussant doucement la couette sur son corps fluet, elle attendit alors patiement que les coups s'abattent sur ses jambes, son ventre... Mais jamais, oh grand jamais il ne touchait à son visage, car elle était le portrait craché de sa douce mère.

    Mais les secondes passèrent, se transformant en de longues minutes et rien. Depuis ce fameux bruit, rien ne s'était passé. Incertaine, Pandore tira doucement sa couverture, posant ses pieds nus sur le parquet froid de sa chambre. Avec apréhension, elle passa la porte de sa chambre, pour s'aventurer en silence, la peur au ventre, dans l'escalier. Une, deux, trois marches. Puis finalement elle arriva en bas, personne dans l'entrée, poussant doucement la porte du salon... Elle poussa alors un cri de stupeur. Son père était là, pendu, et sûrement avait il donné un violent coup de pied durant son achèvement. Une lettre posée sur la table, comme pour la plupart des suicides, elle ne savait de toute manière pas lire. Elle regarda la scène une fraction de seconde, et ses yeux d'un vert d'eau se remplirent alors de larmes. Elle avait causée la mort d'une autre personne. Elle était orpheline à présent, elle n'avait jamais connue sa mère, son père était partit sans jamais l'avoir aimée. Alors, elle laissa place a son chagrin.


      « PAPAAAAAAAAA ! »

    Pieds nus et en chemise de nuit, elle ouvrit violement la porte de la maison. Commençant à courir dans la rue, elle sonna dans la première maison la plus proche, mais il n'y avait personne. Ils vivaient dans un petit village perdus ou il n'y avait pas beaucoup d'habitants et les maisons étaient donc assez espacée. Courant jusqu'à une autre, elle sonna encore une fois, mais on refusa de lui ouvrir. Perdant courage, elle s'arrêta essoufflée, en pleurs, et a bout de forces, devant une troisième maison. Cependant cette fois ci on lui ouvrit. Faisant face à une femme d'une certaine prestance, elle se mit alors à pleurer, et celle-ci l'invita à entrer doucement chez elle, alors qu'elle appelait la police pour son père. Pandore avait en effet réussit à bredouiller quelques paroles sans aucun sens si on ne les reliaient pas ensemble. Entrant doucement dans le salon, elle s'asseya sur un fauteuil lorsque la jeune femme lui proposa, puis, sechant ses pleurs a l'aide du dessus de ses mains, elle entendit la voix de la femme s'élevée.

      « Alors... C'est quoi ton prénom ? »
      « Pan... Pandore, madame. »
      « Oh... Ecoute ca va aller ce qu'il faut que tu gardes à l'esprit c'est que ton papa t'aimait. »
      « Non... Il ne m'aimait pas... »

    Elle pleurait, oui. Mais elle restait étrangement calme, comme si après tout, finalement elle s'y attendait... Son père ne s'était jamais remis de la mort de sa mère, alors il était partit la rejoindre. Dans un sens c'était très romantique, seulement on aurait dû arreter d'être romantique lorsqu'on avait, à sa charge une enfant de quatre ans qui avait besoin d'un parent pour apprendre et grandir comme tout le monde. Enfin. La jeune femme garda Pandore chez elle une bonne petite heure, l'enroullant dans une couverture pour pas qu'elle ne prenne froid. Puis ce fut le moment fatidique et la police vint chercher Pandore, lui expliquant que bientôt ses grands parents viendrait la chercher, il fallait seulement, qu'ils fassent le voyage de Londres. Silence. Pandore ne broncha pas et se contenta simplement d'hocher la tête positivement pour faire comprendre aux policiers, qu'elle avait compris ce qu'ils venaient de lui dire. Les larmes avaient cessées, sa peine n'existait pas. Car au moins en étant mort, il ne leverait plus jamais la main sur elle, et ses grands parents devaient sûrement être plus aimant que lui, et leur foyer devait être mieux que celui dans lequel elle avait évoluée durant ses quatres premières années de vie. Il était interessant de voir comment l'expression de son visage restait impassible, alors que la jeune inconnue chez qui elle avait sonnée, tout comme les policiers s'attendaient a faire face a une enfant en plein desespoir. Non. Ils faisaient face à Pandore.

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MessageSujet: Re: La boite de Pandore.   La boite de Pandore. EmptyLun 22 Déc - 23:45



    « INFINIMENT PLUS QUE TOUT : C'EST LE NOM
    ENFANTIN DE L'AMOUR, SON PETIT NOM, SON NOM SECRET. »
    CHRISTIAN BOBIN. CITATIONS PARMIS D'AUTRES.



      « Lawliet, embrasse moi. »

    Il n’était pas rare que notre Jolie Pandore, ait parfois des envies comme celle-ci. La semaine dernière, elle avait demandé à Lawliet de la faire fumer, et depuis, elle fumait tous les jours. Quelques années étaient passées depuis qu’elle était allée pour la première fois chez les Jeeves, et qu’elle avait fait la rencontre de leur fils, Lawliet. Âgée à présent de dix ans, elle était devenue encore plus belle, et son jeune ami ne pouvait absolument rien lui refuser. Cependant, il avait l’air d’hésiter pour une fois. Pourquoi ? Tout le monde savait très bien que ces deux là finiraient par se marier un jour où l’autre, alors pourquoi il ne voulait pas l’embrasser. Sortant une cigarette comme lui, elle la cala entre ses lèvres innocentes, et l’alluma en silence. Posant ses yeux verts d’eau sur le visage sombre de son ami d’enfance, elle attendait qu’il se décide à l’embrasser ou bien qu’il dise au moins quelque chose.

      « Je ne peux pas Pandy. »
      « Mais pourquoi ? Si tu le peux, je le veux. Embrasse moi Lawliet. »
      « Non. C’est impossible. »
      « Mais pourquoi ? Je suis si moche que ça, tu ne m’aimes plus hein ? Pourquoi tu ne veux pas m’embrasser ? Pourquoi Lawliet ? »

    Les larmes commençaient alors à s’échappées doucement des yeux humides de la jeune Cartwright, qui se sentait toujours énormément vexée lorsqu’on lui refusait quelque chose. D’autant plus que cette fois ci, cela venait de la part de Lawliet, la personne qui s’était toujours plié en quatre pour elle. Aujourd’hui on ne sait pourquoi, il lui refusait un baiser, alors que souvent il lui parlait de ses projets d’avenir. Qu’est ce qu’il se passait ? Pourquoi il ne voulait pas ? Pandy ne comprenait plus, et cela l’agaçait au plus au point, il fallait l’avouer. Tirant sur sa cigarette, seuls ses sanglots venaient briser le silence hurlant qui s’installait entre eux. Jamais, ils n’avaient eu à vivre une situation pareille. C’était Pandore et Lawliet, et on ne pouvait imaginer les séparer, pourtant là, c’est lui-même qui creusait un fossé entre eux. Pourquoi ? Essuyant doucement ses yeux, elle fixa Lawliet, jusqu'à ce que celui-ci ait le courage de croiser son regard. Lorsque le marron croisa le vert, ils se retrouvèrent tous les deux, dans les bras l’un de l’autre. Serrant Pandore contre lui, il lui caressait ses cheveux, et lui murmurait de douces paroles dans le creux de l’oreille. Il était le seul qui savait apaiser ses chagrins d’enfant. Resserrant ses bras autour du cou de Law, elle renifla un instant, avant de plonger de nouveau son regard dans le sien.

    Il faut croire qu’il ne réussit pas à résister au charme de la jolie blonde, haute comme trois pommes, plus longtemps, puisque posant l’une de ses mains sur ses hanches, et l’autre dans ses longs cheveux d’un blond de paille. Il se pencha doucement, alors qu’elle se mettait sur la pointe des pieds. Bientôt leurs lèvres entrèrent en contact, et ce fut un moment magique aussi bien pour notre Jolie Pandore, que pour Lawliet. Profitant de ce moment, ils le prolongèrent de quelques minutes, puis résignés, se détachèrent en douceur. Dans l’effervescence de ce premier baiser, Pandore ne remarqua pas tout de suite l’air soucieux qui se peignait sur le visage de son ami. Mais qu’est ce qu’il avait donc ? Elle ne l’avait jamais vu comme ça, et c’était assez étrange. Ils étaient comme des miroirs, des jumeaux. Rejetant ses cheveux en arrière, elle le regarda doucement, puis sortit une nouvelle cigarette pour elle, et en offrit une à Lawliet, qui l’a prit sans rechigner un seul instant. Il y avait quelque chose qui n’allait pas, ça, Pandore en était persuadée, oui mais quoi ? Là était la véritable question. Marchant quelques instants, elle prit place sur un banc, et invita Lawliet à la suivre, ce qu’il fit sur le champs.


      « Tu ne m’aimes plus ? »
      « Si Pandore. Mais… Je ne peux pas t’embrasser, tout ça c’est compliqué, et tu n’as pas à le savoir. La seule chose c’est que toi et moi ce n’est pas possible. Il faudra se contenter d’être amis. »
      « Mais je ne veux pas ! Je te veux toi, embrasse moi maintenant. »

    Se rapprochant du jeune garçon, elle se blottit alors doucement. Elle avait une impression de déchirure au niveau de son cœur. Elle avait mal, presque autant que lorsque son père s'était tué, ou lorsqu'il lui repprochait la mort de sa mère, tout deux l'ayant quittée pour aller dans cet endroit, que l’on nomme communément « Paradis. ». Sa tête posée sur l’épaule de son ami, elle resta silencieuse un moment. Fermant doucement les yeux, elle cacha au monde entier, ses iris verts. Lorsqu’elle les rouvrit, la nuit était tombée, et Lawliet, la portait jusque chez lui, ses grands-parents paternels attendaient devant l’entrée. Les parents de Lawliet de l’autre côté. Les visages fermés de ce comité regardaientt le prince charmant, ramener sa princesse. Frottant doucement ses yeux, elle suppliait silencieusement Lawliet de faire demi tour, de ne pas les laisser les séparer. Mais rien ne se fit. La reposant doucement sur le sol, elle se jeta dans ses bras, chuchotant à son oreille.

      « Law, dis moi la vérité. »
      « La vérité Pandy ? La vérité c’est qu’on ne se verra plus jamais, et je ne supporte pas cette idée. Mes parents ne veulent plus qu’on se voient, ils se sont disputés avec tes grands-parents je crois… Et voilà. Je ne voulais pas t’embrasser, parce que maintenant, ce souvenir restera dans mon esprit, et je ne pourrais plus jamais le faire… C’est dur Pandy. »
      « Mais Law, on est pas obligé de les écoutés tu sais. On se verra en cachette, à Poudlard. L’année prochaine, on part loin d’eux, loin de tout ça et on sera heureux tous les deux. »
      « Non Pandy, ce n’est pas si facile. Mes parents ont pris les devants, et je pars pour Salem, aux Etats-Unis… Non ne pleure pas Pandore… S’il te plait. Est-ce que tu crois en moi ? Tu as confiance en moi ? »
      « Bien sûr que oui, mais qu’est ce que je vais faire sans toi… »
      « Sois patiente. Un jour l’école sera terminée, ou bien mes parents et tes grands-parents, ne pourront plus nous empêcher de nous voir, de nous aimer. Hein tu m’aimes Pandore ? »
      « Oui… Je t’aime Lawliet. »

    Les adultes n’ont jamais comprit les enfants. C’est une certitude, sinon ils auraient compris qu’il n’aurait jamais, je dis bien ô grand jamais, séparée Pandore de son Lawliet. Pleurant de nouveau, Lawliet s’appliquait à la calmer, quand Pandy fut arrachée à lui par ses grands-parents qui s’évertuaient à la faire entrer en contact avec le portoloin. Hurlant comme jamais, les larmes inondant ses joues, elle s’accrochait tant bien que mal à son ami qu’elle ne voulait pas quitter. Sans lui, elle n’y arriverait pas, elle en était persuadée. Quand ses mains lâchèrent enfin, elle redoubla ses pleurs, et vit avec désespoir Lawliet traîné ses parents dans l’entrée du grand appartement.

      « LAWLIIIIIIIET ! NON ! LACHEZ MOI, JE VEUX RESTER AVEC LUI ! »
      « Je t’aime Pandy… »

    Sa main toucha le portoloin. A présent, Jolie Pandore pleurait en silence. C’était la fin d’une époque heureuse, le début de la débauche, le commencent de la fin. Elle perdait de nouveau une personne qu’elle aimait, et son cœur se ferma pour de bon. Finit l’innocence de la belle Pandore. Elle se terra dans sa chambre, et ne parla plus à personne durant de longs mois. Depuis ce jour, les relations qu'elle entretient avec ses grands parents sont plus que conflictuelles. Elle se rend à leur soirées, et en échange, ils ne font aucune remarque, sur le monde de vie, qu'elle a choisit. De toute façon, rien n'a plus de sens, car personne ne pourrait lui rendre sa mère, personne ne pourrait lui offrir l'amour que son père ne lui à jamais donner, et personne ne pourrait ramenner son Lawliet auprès d'elle.
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Pandore V. Cartwright
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MessageSujet: Re: La boite de Pandore.   La boite de Pandore. EmptyLun 22 Déc - 23:46

      « LE MANQUE D'AMOUR EST LA PLUS GRANDE PAUVRETE. »
      MERE TERESA. PAROLES D'UNE RELIGIEUSE.



      Maman, ma si douce maman,

    Pourquoi m'as tu laissée ? Je n'ai pas eu la chance de te connaître, je suis sûre que j'aurais été heureuse avec toi. J'aurais tant aimée que tu ne meurs pas de ce cancer, que tu restes avec moi. J'ai besoin de toi, comme chaque enfant a besoin de sa mère. Tu sais, tu me verrais tu ne serais pas vraiment fière de la personne que je suis devenue... Toi qui apparement, durant ta grossesse, avec toujours eu un millions d'idées pour mon avenir, pour la personne que je deviendrais. A maintenant quatorze ans, je n'ai toujours aucune idée de ce que je serais plus tard, quelle femme je deviendrais... J'ai tellement besoin de toi, de tes mots si doux et réconfortants, ainsi que de tes caresses apaisantes, dont malheureusement, je n'ai jamais pu profiter...

    Tout le monde me compare toujours à toi, car il est dit partout que je suis ton portrait craché. Mais je ne le pense pas. Sur les photos, tu as l'air si belle, et moi... Je ne suis que l'ombre de moi-même. Oh bien sûr, j'ai par exemple tes cheveux d'un blond cendré, mais ils ne sont pas bien entretenus car je ne prend jamais le temps et le soin de les chérir comme tu avais l'air de le faire avec ta chevelure si douce et soyeuse, d'après les photos. Je garde ces grands yeux d'un vert émeraude que tu m'as offert comme héritage, mais plus aucunes étoiles ne brillent à l'interieur. Ma si douce maman, si tu savais comme je suis triste, complètement perdue... J'ai l'impression que même si mes paupières sont ouvertes, et mes yeux attentifs, je ne suis plus capable de rien voir du tout. Ma peau est pâle et ma bouche n'ébauche plus aucun sourires. Mais pourquoi est ce que je m'efforcerais à en faire ? Hein maman ? Puisque je n'ai pas eu la chance de t'avoir auprès de moi, que l'on m'a retiré Lawliet, je n'ai plus de raisons d'être heureuse, de sourire et de rire. Tout ça, ce n'est que du passé. Tu entends ? Du passé, un sombre passé.

    Tu ne connais pas Lawliet ? Il est... Oh maman, je ne sais pas ce qu'il est mais tout ce que je peux te dire c'est que je l'aime et que je l'aimerais toujours et ce, même si je ne l'ai plus vu depuis cinq longues années à présent. Il est mon ami, il est mon premier amoureux... Tu sais c'est avec lui que j'ai connue mon premier baiser, que j'ai fumée ma première cigarette, et c'est aussi avec Lawliet que j'ai bu mon premier verre de whisky. Je sais ce que tu me dirais... L'alcool n'est pas convenable pour une jeune fille comme moi, et qu'il y a des milliers d'autres choses à découvrir qui seraient moins néfastes pour ma santé. Mais, ma si jolie maman, la vie ne m'a apportée que chagrin et je n'ai pu me consoler que dans le fond de l'un de mes nombreux verres. Tu sais, je ne suis plus qu'une triste épave qui se détruit à petit feu, un peu plus chaque secondes. Mes cernes se creusent de plus en plus, et souvent mes cheveux sont en battailles couverts de sueurs, et mon teint cireux, à cause d'un trop plein d'alcool. Je vomie comme je respire, et j'ai la gueule de bois, pratiquement tous les matin. C'est un peu la vertu contre le vice. Mais contre l'envie d'être une fille respectable, j'ai choisit le vice, et maintenant que j'y suis plongée, il sera impossible que je m'en sorte...

    Je sais que tu devais m'imaginer comme une battante, mais tu sais, on finit toujours par abandonner lorsqu'on sait que la partie est perdue d'avance. Je ne crois plus en rien, ni au bonheur, ni à la chance, ni à la vie, et encore moins à l'amour ou à l'amitié. Pourtant il y a dans ce chateaux certaines personnes qui tiennent à moi... Mais ce sont tous des hypocrites, ils n'aiment que la jolie Pandore, la mysterieuse Pandore... Mais au fond, ils ne me connaissent pas vraiment, personne ne me connaît et personne ne me comprend. Tu sais, papa doit être à tes côtés à présent, mais je lui en veux. Je lui en veux, car il m'a abandonnée, pour te rejoindre. Il n'avait pas le droit, et en s'en allant, il ne m'a même pas confiée à des personnes plus aimantes. Non, à présent je suis entre les mains de ses parents, qui font de moi leur pantin, et décide à ma place. Par exemple, je suis à présent fiancée à un garçon, juste parce que c'est arrangé, que sa famille est puissante, et que cela ferait plaisir à grand-mère. Ce n'est pas juste...

    Il se fait tard, et je suis sur cette lettre, depuis je ne sais pas combien d'heures, mais cela me fait tellement du bien, de prendre un semblant de contact avec toi... J'aurais tellement aimer te connaître. Je n'en ai jamais eu la chance, et pourtant je t'aime tellement. Pourquoi t'as -t-on arrachée à moi ? Ils n'avaient pas le droit ? Tu m'entends ?! PAS LE DROIT. JE LES HAIT.

    Les anges ne valent pas la peine d'être mis sur un pied d'estal, ils sont la cause de ma tristesse, de mon malheur et de ma solitude. Ils ont contribué à l'instalation du malheur et du chagrin dans ma vie, et j'ai l'impression que ce sera comme ça pour la vie. Je hais les anges, qu'ils aillent se faire mettre, qu'ils brulent en enfer, que jamais ils ne t'atteignent au paradis, ou à présent tu reposes en paix, loin de ce monde cruel, dans lequel je ne suis qu'une pauvre prisonnière. Tu sais, ma si jolie maman... D'un côté je t'envie, tu n'as plus à souffrir, à te dire que tu as ratée ta vie, et que tu n'es pas celle que tu as un jour espérée devenir. Non tout cela est finit pour toi, tu ne penses plus, et pour ton âme c'est beaucoup mieux ainsi. Enfin elle a trouvée le repos qu'elle a tant méritée.

      Je t'aime pour la vie.
      Ta fille, Pandore.
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Pandore V. Cartwright
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MessageSujet: Re: La boite de Pandore.   La boite de Pandore. EmptyLun 22 Déc - 23:47



      « NUL N'EST PLUS MISANTHROPE QU'UN ADOLESCENT DECU. »
      HERMAN MELVILLE. REDBURN.



    AND GOD SAVE THE QUEEN ?

    L'amitié alcoolique, ça vous dit quelque chose ? voila ce qui unit Iseult, Tristan et Pandore. Ne parlons pas de Narcisse, car la relation des deux étudiants est bien plus compliqué qu'une simple amitié. Seulement, ce soir Pandy allait s'amuser, et pour ça il ne lui suffisait que d'avoir ses compatriotes de bourres, et quelques bouteilles pour mettre de l'ambiance. Le rendez vous avait été fixé par la jolie blonde, et vous pouvez lui faire confiance pour trouver des endroits peu convenables et sécurisants, quand vous étiez conscient que l'idée principale était de boire, fumer, et ce, jusqu'a n'en plus pouvoir. Le terrain de Quidditch. Et oui, c'était l'endroit que Pandore avait choisit après avoir hésitée longuement avec le toit de la tour d'Astronomie. Enfin, tant qu'elle était à l'air frais tout lui convenait, on ne peut pas dire qu'elle fut une fille réellement difficile. Le rendez vous était fixer a vingt deux heures, mais d'humeur fêtarde, la jeune Cartwright avait décidée de venir en avance et de prendre quelques bouteilles d'avance sur ses amis. Arrivant sur le terrain, elle caressa l'herbe du bout de ses doigt. L'air frais, rentrant dans ses cheveux, les faisant voler derrière ses épaules au gré du vent. Se dirigeant dans les vestiaires, elle prit le premier balais qu'elle trouva puis ressortit à l'exterieur. Tapant d'un coup sec son pied par terre, elle se sentit alors décoller, et prit d'une adrénaline unique, qui la prennait à chaque fois qu'elle savait qu'elle se mettait en danger.

    Tournant, virant, elle vola d'abord tranquillement avant de s'amuser à passer entre les cerceaux, où d'ordinaire c'était les balles qui les traversaient pour faire marquer des points aux diverses équipes qui s'affrontaient. Puis une fois, qu'elle en eu marre de virevolter comme ça, elle vola jusqu'au plus haut cerceau et se posa sur celui-ci en équilibre. Son balais, volant toujours à côté d'elle. Passant une main dans ses cheveux, elle huma l'air frais de cette nuit, qui promettait d'être très alcoolisée, pour son plus grand plaisir. Elle sortit alors un de ces trois flashs de whisky qu'elle avait prit le soin de mettre sur elle, puis ouvrant la bouteille, elle la porta à son nez, pour se délecter de l'odeur durant une fraction de secondes, avant d'ingurgiter une première quantité d'alcool. Son corps fluet tanguant sur le métal or du cerceau, elle se tint de son autre main, encore libre. Posant son regard vert sur l'horizon, elle vit un Poudlard qui semblait tout endormi. Pourtant, ce n'était qu'un leurre, et Pandore était bien placer pour le savoir. En effet, notre Jolie Pandore nationale, était invitée dans toutes les fêtes, et savait donc pertinnement que rares étaient les jours ou ses camarades ne faisaient que dormir la nuit. Terminant son flash, elle jeta la bouteille en bas, puis ouvrit le deuxième. C'était vraiment dans des moments comme ça, qu'elle se sentait bien, et libérée.

    Pandore n'avait pas l'air d'une fille torturée aux premiers abords. Elle était jolie, entourée d'un tas de personne, et pourtant personne ne pouvait combler ce vide qui s'était creusé dans son coeur froid et terne. Le fait est, qu'en réalité, elle souffrait énormément interieurement et que les seuls moments ou elle était réellement heureuse, était les moments ou elle était ivre, car alors, elle ne pensait plus à rien. Jetant la seconde bouteille, elle s'attaqua à la troisième. Elle savait que s'être poser à au moins quinze mètres du sol n'était pas une bonne idée, mais après tout, est ce qu'un jour Pandy avait elle eu une bonne idée ? Rien n'était moins sur. Elle essuya alors sa bouche à l'aide de sa main libre, et avala d'un trait le fond qu'il restait dans son dernier flash. Maintenant, il était temps que les autres arrivent car elle n'avait plus rien à boire.


      « PANDIIIIE ! BORDEL MAIS QU'EST CE QUE TU FOU LA HAUT ? »
      « J'ARIIIIIIIIIIIIIIVE, T'AS DU KY-WHIIIIIIIS ? »

    Ky-Whiiiis ? Hmm très mauvais signe, lorsqu'on connaissait réellement la jeune femme. Elle était déjà très joyeuse, dirons nous, pour faire simple et compréhensible. S'emparant de son balais, elle glissa, et faillit tomber, mais réussit de justesse à se mettre à califourchon sur son balais. Pointant le sol, elle descendit en pic, redressant à quelques mètres, mais pas assez pour attérir en douceur. S'étalant sur le sol, elle finit par être allonger dans l'herbe. Ses cheveux dans tous les sens cachant son visage. Elle resta un moment silencieuse, ses grand yeux verts fermés. Puis, elle se mit à entrer dans un fou rire incontrôlable, se tordant sur le sol du terrain, tenant son ventre à l'aide de ses deux mains. Il était surêment à peine dix heures, et elle empestait l'alcool. Ses amis avaient toujours détester le fait qu'elle ne les attendent pas pour la simple et bonne raison que Pandore était incontrôlable une fois qu'elle avait bu, et qu'elle était capable de faire la pire connerie jamais imaginée, tant elle avait de l'imagination à revendre. D'ailleurs, vous avez bien vu l'endroit qu'elle avait choisit...

    Vêtue d'une courte robe blanche, légère en soie, elle laissait dépasser sa lingerie blanche également, qu'elle avait achetée dans la boutique de sorciers la plus chic au monde. Ce qu'il ne fallait pas oublier chez Pandore, c'est qu'elle appartenait à l'une des familles les plus riches et les plus influentes de l'aristocratie sorcière de Londres. Redressant du mieux qu'elle pouvait sa robe, elle posa alors ses grands yeux verts vitreux, sur le visage, un peu flou, de Tristan. Un sourire parcoura alors son visage, puis elle se releva avec hâte, piochant deux bouteilles dans ce qu'il avait ramener, elle en prit une pour elle, avant de lui tendre l'autre. Puis, avec un rire ridicule, elle dit un discours, si l'on pouvait qualifier cela de discours.


      « Je tiens à remercier mes grands-parents, qui ont fait de moi, celle que je suis... Une pauvre alcoolique paumée et sans avenir, vivant dans la débauche la plus complète. Je suis la reine, et ils sont ceux qui m'ont contraint à devenir comme ça. Alors trinquons en leur honneur, car s'ils n'avaient pas gâcher ma vie, je n'aurais jamais été votre Pandy, votre Jolie Pandore, et votre Queen. »

    Puis elle but plusieurs gorgées d'un coup sec. Riant au éclat, elle posa sa bouteille par terre, puis retira sa robe, se retrouvant en sous vêtements, et commeça à courir dans le parc, avant de se rouler dans l'herbe. Plusieurs brindilles venaient alors décorer sa longues chevelure d'un blond vénitien, et ses yeux verts, brillait d'une certaine malice. Elle était d'une beauté époustouflante et mélancolique, qui ne pouvait laisser personne de marbre. Rampant jusqu'a sa bouteille, elle resta allongée, avant de lever sa bouteille vers Tristan pour reprendre la paroles.

      « Trinquons à mon mariage. Trinquons à nos vies misérables. Mon ami... Santé ! »

    Puis elle se remit à boire goulument à même la bouteille, sans couper l'alcool avec quoi que ce soit. Puis fouillant dans son sac qu'elle avait posé par terre, elle fouilla jusqu'a en ressortit une cigarette. La calant entre ses lèvres, elle lutta quelques longues minutes avec son briquet avant de parvenir enfin à allumer sa clope. Tirant dessus avec un sourire joussif, elle se laissa s'enfoncer dans l'herbe, l'alcool ayant prit le contrôle de son corps. Ca, c'était le paradis.

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MessageSujet: Re: La boite de Pandore.   La boite de Pandore. EmptyLun 22 Déc - 23:49



    « LE WHISKY EST LE COGNAC DU CON. »
    PIERRE DESPROGES. DICTIONNAIRE SUPERFLUS
    A L'USAGE DE L'ELITE ET DES BIENS NANTIS
    .



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Fêtes . Champagne . Electro . Vodka .
Camel . American Apparel . Eiffel tower .
California . Trocadero . Londres . Marlboro .
Queen . Alcool . Slim . Rire . Friends .
Poppers . Rails . Shopping . Money . Whisky .
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MessageSujet: Re: La boite de Pandore.   La boite de Pandore. EmptyLun 22 Déc - 23:51



    MORE & MORE.

      BAGUETTE : La baguette de Pandore mesure vingt sept centimètres, taillée dans du bois de saules, elle renferme en elle-même, un cheveu de Vélane, qui provient de la chevelure de sa grand-mère maternelle. Très flexible, elle est idéale pour tout ce qui est sortilège et métamorphose.

      MAISON SOUHAITEE : Et bien, Pandora a ce côté égocentrique et solitaire, qui fait qu'elle ne pense qu'a elle même, et qu'elle n'aide quelqu'un que lorsque cela peut être dans son intérêt. Cependant, en contraste avec ce côté Serpentard de sa personne, elle est également très courageuse comme quelqu'un appartenant à la maison du lion.
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MessageSujet: Re: La boite de Pandore.   La boite de Pandore. EmptyLun 22 Déc - 23:53



    QUESTIONNAIRE DU CHOIXPEAU

      • 1) Vous trouvez un porte-monnaie rempli de Gallions, qu'en faites vous ? Je le garde. Je n'ai pas assez d'énergie pour trouver à qui il appartient. Mais, vu que j'ai beaucoup d'argent, si l'un de mes amis en a besoin, je lui offre.

      • 2) Un élève de votre maison vous fait une farce un peu humiliante. Comment réagissez vous ? Qu'il se cache, car ma vengeance sera terrible. Je ne suis pas quelqu'un qu'on humilie, au contraire, c'est moi qui humilie les autres, à bon entenduer.

      • 3) Quel serait votre cours favori et pourquoi ? Sortilèges. Il est pour moi, de loin, le plus utile pour ma vie future.

      • 4) Vous avez du temps libre, que faites vous ? Je bois, je fume. Parfois il faut que j'assiste aux soirées mondaine de l'aristocratie magique dans laquelle je fais malheureusement partie. Après tout, je ne suis qu'une adolescente comme les autres. Alors pendant mon temps libre, je m'amuse.

      • 5) Vous êtes à la bibliothèque, qu’empruntez-vous comme livre ? Historique. J'adore lire des histoires, beaucoup plus intéressant que des formules incompréhensible.

      • 6) Votre lieu préféré à Poudlard et pourquoi ? Partout. Parce que j'aime réellement ce château, c'est le seul endroit qui ait pour moi l'air d'un foyer familial, alors je chéris chaque parcelle.

      • 7) Si vous deviez n'en avoir qu'un seul, quel objet magique peu ordinaire aimeriez vous posséder ? : MA baguette ? Objet ordinaire, mais indispensable à tout bon magicien. Sinon, j'opterais pour la cape d'invisibilité, elle pourrait peut être répondre à ma curiosité trop grande.

      • 8) Si vous remarquez qu'un élève se comporte bizarrement ces derniers temps, aimeriez vous savoir ce qu'il manigance, allant jusqu'à le suivre ? Non. Je suis de nature égocentrique. Tout ce qui n'a pas trait à ma personne ou aux gens que j'aime, n'a aucune importance à mes yeux. Peut être que cela attiserait ma curiosité un temps, mais je passerais très vite à autre chose.

      • 9) Comment considérez vous Albus Dumbledore, directeur de Poudlard ? Est-ce une bonne chose qu'il soit à la tête de cette si prestigieuse école ? L'administration n'est pas mon fort. Mais après tout, j'ai bien réussie mes années précédentes en ayant ce cher Albus comme directeur. Alors... Oui, pour moi c'est un bon directeur, il ne met aucun obstacle à ma réussite.

      • 10) Très franchement, pensez-vous que les enfants de Moldus méritent d'étudier à Poudlard ? Je pense qu'il ne faut pas juger sur le sang mais sur la personne elle même. Moi même je suis une sang mêlée et il m'arrive de trouvée des personnes nées de moldus très intéressante, et au contraire des sang pur, très barbant. Chacun sa vision des choses.
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MessageSujet: Re: La boite de Pandore.   La boite de Pandore. EmptyMar 23 Déc - 0:00

    HORS RPG.


      PSEUDO : L3A.
      ÂGE : 17 ans.
      AVATAR : Doutzen Kroes.

      LE FORUM ? : J'aime. Le design est acceuillant, pusi comme j'en cherchais un nouveau pour pouvoir débarquer avec mon Alice <3. Le niveau RP a également l'air d'être là, alors quoi demander de plus.

      PRESENCE SUR LE FORUM : Pendant les vacances je pense être présente quotidiennement. Ce sont quand même les vacances, après tout dépendra de mes études, et de mes sorties. Mais je dirais 4.7 en periode scolaire =)

      CODE : { :luvZZ: . Piaf a ENCORE frappé}.
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Violet A. Thompson
{ Fonda - Ex Piaf un peu folle sur les bord

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- LEGILIMENS -
Relations:
Profession / Année: Médicomage # Travaille à Sainte-Mangouste # Donne un cours à Poudlard
Aspiration:
MessageSujet: Re: La boite de Pandore.   La boite de Pandore. EmptyMar 23 Déc - 0:26

Bonsoir && Bienvenue Pandore x)
*se répète affreusement*

Encore une sublimissime fiche.
C'est la soirée x)

La Mamz'elle va filer chez les Vipères donc.
*C'est le Prince qui va être content xDD*

Validée && Enjoy yourself =P
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