❛ 19 ANS ❜ . 27 ANS D'ÂGE RÉEL . DHAMPIRE
« LA PAROLE EST D'ARGENT, LE SILENCE EST D'OR… »

Mon patronyme complet est Nhÿx Heÿrees Meÿdushà Deadwhisper. Nhÿx pour la nuit que je représente, Heÿrees pour la discorde que je suis, Meÿdushà pour l’hybride dont je suis composée. Je suis née quelque part dans les îles de Svalbard, non loin des contrées de Norvège… Il y a cependant bien des années que je n’ai plus mit les pieds sur ces îles glacées où dame Hiver semble avoir élu domicile, préférant m’installer sur les contrées anglaises, celles de Newcastle plus précisément. J’ai vu le jour le 13ème du mois de décembre, il y a de cela vingt-sept ans maintenant, quand bien même mes traits se sont figés sur le visage de mes dix-neuf ans, m’infligeant cet éternel visage d’enfant que je ne suis plus certaine de voir évoluer un jour… La raison de ce que certains nommeraient prodige ? Mon origine génétique. Fille de sorcière je suis, tout autant qu’engendrement d’un vampire. Ma véritable nature est dhampire. Sorcière de même. À vrai dire, il existe encore des jours où je me demande ce que je suis, et pourquoi je suis cela. De réponse pourtant, le ciel ne parvient à m’en apporter de satisfaisante, m’exhortant à vivre au jour le jour avec cette nature qui m’est encore étrange… On m'appelle fille du soleil, fille de la lune … étoile perdue de l'aurore.

Ma plus grande peur, quelle est-elle ? Je n'y ai sans doute jamais réellement réfléchit en vérité. Elle existe, mais je ne parviens à la déterminer. Le vide ne m'effraie pas, l'eau est mon second élément… Je suis fille de ces ombres de cauchemars et la faucheuse est ma cavalière de bal. Certains oseraient prétendre que l'inconnu m'effraie, d'autres que je suis pétrifiée par ma propre ombre. Suppositions stupides et ô combien révélatrice de l'imbécilité de certaines personnes. Les membres de notre grande famille pencheraient en faveur de notre reine… La belle De la Fontaine hante t'elle mes pires cauchemars ? J'ose avouer sans honte qu'elle sait se montrer effrayante, mais sa beauté éveille en moi bien plus une fascination qu'une indicible peur. En y songeant avec plus d'exactitude, il me vient à l'esprit que ce qui se rapproche le plus de ma plus grande peur prend la forme d'un rongeur : le lapin. Sans doute cela paraît-il ridicule, mais croyez-moi, ma peur est fondée : il semble que le conte d'Alice au pays des merveilles m'ait perturbé. Alice aurait-elle manqué d'avoir la tête tranchée si ce lapin blanc n'avait point attiré son regard ? Lorsque l'on se penche sur ce conte dans sa version moldue et sorcière … reconsidérez bien la chose. Je me méfie bien plus de ces créatures au regard bien trop innocent, et leur petit pompom blanc… Quant à mon plus grand rêve … Il n'appartient qu'à moi, et je ne le partagerai pas. Il ne se réalisera jamais, et seul le destin peut me donner ce qu'il m'a prit. N'essayez pas de deviner de quoi il s'agit, je ne confirmerai.  

Spoiler:

Comme toute personne normalement constituée, il m'est impossible de me remémorer avec exactitude les détails de ma naissance. À la façon de l'écrivain François-René de Chateaubriand, je pourrai supposer être née sous les rugissements d'une tempête de neige, mais il n'en fut rien. Ainsi, si je devais coucher mon histoire sur le papier, devrais-je commencer par les récits qui m'ont été rapportés. Que l'on me pardonne d'avance si certains passages demeurent nébuleux, c'est que je n'en ai alors aucun souvenir m'appartenant ou non.

Mon père, Orion Deadwhisper ; connu autrefois sous un tout autre nom lors de sa naissance en Grèce ; a toujours été considéré comme un vampire des plus sensés, et les années n'ont servies qu'à accroître cette sagesse. Créature de la nuit abhorrant le crime, il préférait s’abreuver à la source des livres et des parchemins, nourrir les pages blanches de son savoir. L’éternité à son regard, équivalait à une chance inespérée de découvrir, d’évoluer, de s’inspirer. Érudit, artiste spirituel, poète désœuvré, sa recherche de la beauté, de la candeur et de la réalité ne put que le conduire à rencontrer une jeune sorcière qui possédait un âge bien moindre comparé au sien : Vivhyanne Fitzpatrick, ancienne serdaigle et infirmière à Sainte-Mangouste de profession. De ce dont je me souviens, et selon les paroles de mon paternel, c’était une femme magnifique, altruiste et dont la seule riche parure était son sourire. J’ignore véritablement les circonstances de leur rencontre, les détails se faisant avares sur ce point, néanmoins, il apparut très vite que l’âme d’Orion vint s’attacher à l’humaine qui lui accordait une attention particulière. Était-ce à cause de sa beauté qui semblait sortie tout droit d’une peinture de Michel-Ange ? Ou de son côté fascinant dont elle ne pouvait détacher le regard ? Mon géniteur affirme qu’il était aussi attaché à elle qu’elle l’était de lui, je ne puis que le croire sur parole en vérité. Certains amis de ce dernier me rapportent pourtant qu’ils auraient crut une fuite possible de la part de ma mère, dès lors qu’elle découvrirait la véritable nature de celui dont elle demeurait persuadée d’être amoureuse, fut-ce dès lors une surprise de taille lorsqu’elle leur prouva le contraire, se faisant alors délectable calice. Certains vampires considèrent leur calice comme un simple garde-manger, une raison de ne pas succomber à l’excitation d’une chasse réussie… Ma mère était bien plus que cela semblait-il, égale d’une épouse. Une relation qui n’était pas véritablement vu d’un très bon œil, mais que pouvait-on en dire ? Qui même aurait osé porter préjudice au calice d’un homme aussi respecté que pouvait l’être le vampire qui l’avait accueilli dans ses bras ? Nul n’ignorait l’attachement que l’un et l’autre éprouvaient… Fut-ce pour cela que le couple royal vint s’immiscer de la plus subtile des façons, jusqu’à confier cette mission dont les résultats pouvaient s’avérer inexistants ? Il s’en retira que cette dernière n’était pas à refuser. Quel vampire n’aurait pas sauté sur l’occasion de pouvoir engendrer ? Mon paternel y voyait la chance de le faire, plus encore, d’officialiser en quelques sortes son union implicite.

Il s’avéra que l’affaire se révéla bien plus difficile que prévue, et la véritable intimité … bien peu présente. Jusqu’alors, jamais mes parents n’avaient eu de relations charnelles, conscients de la vigueur du vampire qu’était Orion, aussi leurs première fois se firent sous le regard d’hommes et de femmes capables d’empêcher leur congénère d’abîmer la potentielle mère porteuse, pour certains, il s’agissait aussi de préserver la vie humaine qu’ils avaient apprit à apprécier, quand bien même ces derniers étaient bien plus rares qu’on ne pouvait le penser… Il est dit que les premières fois ne sont pas toujours les bonnes. Certaines se virent gênantes, horribles, et pour achever, dévastatrices. Si ma mère tomba enceinte deux fois… elles s’achevèrent toutes deux par de fausses couches. Épuisée et entrant dans une phase de dépression, le dernier essai se devait d’être le dernier qu’elle entreprendrait, trop fragile pour continuer, peut-être pas assez forte, à moins que ce ne soit l’expérience qui se voit annulée. Cette nouvelle gestation se fit sous le couvert de l’inquiétude, mais aussi de ses propres prières. Et lorsqu’elle arriva à terme, je naquis, présentant d’ores et déjà un défaut qui aurait put me faire passer pour morte si mon père n’avait pas entendu mon faible cœur battre. Je suis née muette. Est-ce là un résultat de mon ascendance ? Ou un problème génétique ? Les deux pourraient se confondre à vrai dire, et jusqu’à présent, nul n’a jamais trouvé de réponse à cette question. Quoi qu’il en soit, il est dit que je ne rejoignis pas le sein de ma mère en premier lieu, mais que je fis ma première rencontre avec le couple royal. Ce qu’il s’y déroula ? Nul ne saurait le dire hormis les concernés et mon paternel, il en résultat que j’étais viable et mise sous protection de la royauté, ce ne fut qu’après que je pus rejoindre ma génitrice, dans le but de grandir sous son regard maternel, tout autant que sous celui de mon père. J’étais ce sujet témoin, et l’on attendait plus que de me voir évoluer …

Et il se constata que je le fis comme une enfant normale, respectant presque à la lettre les tranches d’âges… Néanmoins, l’on constata un autre défaut, qui n’en était sans doute pas un, mais qui marquait suffisamment ma différence pour qu’on le remarque. Mon regard. Deux yeux vairons, pour deux couleurs différentes. L’une banale, semblable au regard de mon père … quand l’autre se voulait être un mélange sorti de nul part, dérivant vers le lavande. Que voulez vous, parfois, les chromosomes ne parviennent pas toujours à se mettre en accord et concoctent quelques surprises, celle-ci en était une, et sans aucun doute la seule qui soit physique. Pourtant, j’avais beau posséder des allures de poupées de porcelaines … j’étais bien loin de l’être, enfant sauvage qui aimait courir dans les hautes herbes plutôt que de demeurer sagement assise devant un piano, à jouer encore et inlassablement les mêmes partitions. Ce côté vivant pouvait m’attirer bien des ennuis, pourtant… il me semblait déjà être indispensable de vivre au jour le jour, de profiter de cette vie offerte qui se croquait telle une pomme acidulée. Sans aucun doute au grand désarroi de ma tendre mère qui ne pouvait que me courir après, sans espérer l’aide de ce géniteur endormi ou mort une fois le soleil levé. Et si aucun son ne franchissait mes lèvres sous ces mimiques rieuses, la malice qui s’écoulait dans mon regard le faisait amplement, moqueuse. Ainsi grandis-je, sous l’affection de ma mère, sous ses tours de baguettes qui éveillaient en moi l’impatience de découvrir si j’étais moi aussi sorcière, et qui savaient aussi m’émerveiller…

Cela surprendrait bien des personnes si j’avouais que mes études ne se sont pas déroulées à Poudlard, mais bel et bien dans la majestueuse école française qu’est Beauxbâtons. Comment cela se peut-il ? Veuillez croire au fait que mon éducation ne se base pas seulement sur ce que tous les autres enfants étudient. Ayant le privilège de faire partie d’une famille de vampires, mon éducation, se déroulant sur plusieurs années, fut bercée par l’Histoire, les Lettres, les Sciences et les Langues. Bien qu’étant dans l’incapacité de parler, je me vis toutefois dans la possibilité d’étudier l’anglais, le français, mais aussi le latin, langue morte que je ne pris toutefois aucun plaisir à apprendre. Comme bien des enfants, je fis mon entrée dans une école où se tenaient d’autres enfants de sorciers, apprenant ainsi à lire, écrire et toutes ces autres matières qui ne pourraient que s’avérer utile à mon entrée dans une future école. Aussi, à l’âge requis, une buse vint à frapper à la fenêtre de notre maison, m’invitant dans l’école française qui me faisait déjà tant rêver. Je me souviens encore de la sensation que j’ai éprouvé en observant pour la première fois les moulages sur les murs immaculés, la noblesse qui ressortait entièrement de chaque lieu, de chaque instant. Cet endroit respirait la France et son égocentrisme, son arrogance… sa fierté. J’étais la seule étrangère de ces lieux, mon nom ne sonnant nullement français, néanmoins, je fus accueillie comme si ce n’était pas le cas, et vint rapidement à me lier d’amitié avec d’autres élèves. Notre répartition se fit dans une salle des plus immenses, dans laquelle trônait un miroir imposant et qui semblait taillé dans la glace la plus pure, incapable de fondre. Lorsque vint mon tour, ce dernier s’avéra bien plus surprenant que je n’avais osé l’imaginer, me laissant entrevoir sous sa surface miroité quelques passages de mon enfance, du jour de la découverte de mes pouvoirs ; instant de gourmandise où je n’avais cherché qu’à atteindre un pot de cookies que je ne pouvais atteindre, mais qui vint à moi en lévitant ; à ces instants où je demeurais cloitrée dans la bibliothèque de mon paternel, dévorant ses écrits et les livres qui s’y trouvaient. Fut-ce alors ce détail qui poussa mon répartisseur à m’envoyer dans les maisons des plus travailleurs et érudits ? Je n’en aurai sans doute jamais la réponse, mais il s’avéra que cette dernière était faite pour moi.

Sans doute n’est-il pas indispensable de décrire comment se déroula ma scolarité, j’étais une élève passionnée, avec ses forces et ses difficultés, travaillant bien plus dur à l’approche des BUSE et des ASPIC… Mes notes vous en témoigneront ainsi …

Spoiler:

Mais je mentirai dès lors en précisant que ma vie fut particulièrement inintéressante durant cette période. Elle le fut de bien des façons, et le tout n'était en réalité qu'une continuité de ce que je subissais déjà depuis mon enfance. Car ai-je oublié de préciser que mon statut de Dhampire, dont on ne savait rien, dont on ignorait les conséquences et les avantages, était à explorer sous toutes les coutures ? Je n'oublie pas de mentionner le fait que mon lait était mélangé au sang, car alors… qui aurait put prédire que je survivrais si je n'en buvais ? L'on me sevra de ce dernier avec réticence, jusqu'à ce que l'on constate que je n'en avais pas besoin en réalité. Peut-être même n'en avais-je eu jamais besoin… Qu'en dirais-je aujourd'hui? Le goût ferreux du liquide carmin me manque t'il ? La vérité est celle-ci : il m'enivre, mais je n'en bois pas. Au contraire de mon paternel, je ne possède pas sa force, la mienne est moindre, inexistante, digne d'une simple mortelle… Ma résistance est moins forte que la sienne, mais bien plus que celle des humains … Ma vitesse elle… n'est que très légèrement élevée, mais la mettrait-on sur le compte de mes gènes vampires ? Il m'est possible de voir dans le noir, néanmoins, certains détails m'échappent et qui ne sauraient échapper à cette famille aux longues canines… Quant à ma longévité… L'on crut tout d'abord que je vieillirai comme une mortelle normale, mais les années s'écoulèrent après mes dix-neuf ans … et jamais plus mon visage ne changea, demeurant figé. Le pourquoi demeure encore inconnue, et il me vient encore l'envie de savoir si je pourrai un jour reprendre le cours de ma vieillesse… Un dernier détail ? Jusqu'à mes vingt-quatre ans, je n'eus jamais mes règles, des formes certes… mais pour tout le reste. Me croirez-vous dès lors si je vous disais que je suis encore en pleine adolescence ? C'est un détail difficile à avaler, je le conçois.

J’imagine que vous aimeriez savoir ce que je fis après Beauxbâtons ? Je quittais la France tout simplement, délaissant derrière moi les souvenirs, mes anciens camarades… Y retourner pour les revoir n’était pas une idée que je pouvais mettre au goût du jour, ma jeunesse ne pouvant que me trahir tandis qu’ils vieilliraient. Aussi m’exilais-je avec mon père en Angleterre. Oui, sans ma mère. C’est un détail dont je ne parle pas… Mortelle qu’elle était, la maladie vint vite me l’arracher sitôt mes dix ans écoulés… Quoi qu’il en soit, là encore, mes éternels presque vingt ans finiraient par poser souci, j’avais l’âge d’être à l’école, malgré mes vingt-sept années, il ne me fut pourtant pas autorisé de m'y rendre, à mon grand désespoir. Que me restait-il dès lors à faire ? Avide de connaissance, je ne pouvais que me repaître des écrits que je trouvais, de ces nouveaux livres qui sortaient. Le tour du monde eut été une idée que j'aurai volontiers expérimenté … Mais en ais-je seulement le droit ?

Helllllow !

Je viens te demander un petit truc qui pourrait t'aider à te décider : s'agit-il d'un personnage vampire ?

Oula ! Prends contact de suite avec Hiro' la co-admin car c'est elle qui gère les vampires et je suis pas sûr que ce soit possible, étant donné que la royauté n'a autorisé les rapports mixtes que cette année... Compliqué, donc.

Enfin, t'as quoi contre Clermont-ferrand ?

Mon Dieu. Première fois que ça m'arrive... Je me sens vulnérable, là. Comme si tu frappais en bas de ma tour d'ivoire. Manquerait plus que tu me connaisses et j'appelle le FBI pour changer d'identité !

J'espères que tu oseras me dire dans quel bahut tu es, histoire que je speed un peu.
Sinon, Hiro n'est pas foncièrement contre, apparemment.

Bonswarrr ~

On parle vampires, je suis là
Alors les enfants mixtes sont possibles mais à très très très petites doses. Ne dit-on pas que les lois sont faites pour être contournées ? C'est juste un peu beaucoup dangereux avec les De La Fontaine. A moins que la petite soit née suite à une décision des DLF qui voulait voir ce qu'un hybride pouvait donner. C'est possible aussi. Donc si tu aimerais en faire une demi-vampire c'est faisable, faut juste une base qui explique bien sa naissance ou soit être prête à fuir la royauté ou la servir.

Si il y a des questions on voit ça par mp plutôt que de polluer encore ta fiche ;3
Et welcome par la même occasion.

A la finale de l'ASM... euh... si tu m'as vu, j'étais pas en état de parler...

Wesh tu fous quoi là t'envahis mon territoire de ginger.
Et sinon bienvenue
ah et : ASM ? assoc' des sados-masos ? *zbaf*

Coucou !

Alors, comme Ann-Lys et moi ne nous sommes pas croisés, je met la fiche en attente, histoire que nous puissions parler des caractéristiques de ton personnage avant de valider quoi que ce soit. C'est la première fois qu'on traverse un moment où on se voit par accoup mais ça ne devrait pas durer, puisque les fêtes se terminent bientôt... Patience, donc.

Ayééé je suis là ~
J'ai lu la fiche et j'adore ton style sur ça je n'ai rien à redire. Sur la plus grosse partie de ton histoire idem c'est très bien ficelé et la partie Beauxbâton ne gêne pas (puis vu que les DLF sont français ça se tient). Il y a juste un petit couac.. en fait on a pas clairement compris que tu voulais mettre Heÿrees à Poudlard sinon on t'aurais prévenu que ce n'était pas possible. Premièrement parce que ce ne serait pas juste pour ceux à qui ont à dit non (puis entre Dhampire et Vampire c'est pas franchement différent), et deuxièmement parce que les DLF ne prendrait jamais le risque de mettre leur "cobaye" à proximité de Julian qui a presque 200 ans et pas franchement gentil avec les petits jeunes.

Et puis comme déjà dit à Fanny, Dumby est pas au courant pour les vampires (faudrait que je pense à coller cette info quelque part quand même xox)

Je n'ai pas eu le temps de lire ta fiche mais je pense que ta Dame peut aussi rester aux côtés de la Royauté à Gorsemoor. Sinon, travailler à Londres peut être une option, oui. Dans le sens où là bas tu seras noyée dans la masse et donc tu passeras inaperçue... Il me semble d'ailleurs que Jane (qui est une vampire puissante) travaille à la Gazette du Sorcier...

Donc voilà : tu as pas mal d'options, sur ce coup-ci...

Merci pour les modifications, te voila validée ~
N'hésite pas à faire un petit passage par ici

Je t'ajoute dans le groupe des vampires et te souhaite une bienvenue officielle en espérant que tu t'amuses bien parmi nous

Et JOYEUX NOËL à toi aussi ~ ♪