« my immortal » - Hazeyneel (done)

Newcomer

Hayzeneel Mandrake Anjeston

personnage entièrement inventé

Identité

Nom ;; Anjeston. Oui. Je sais, c'est un nom peu commun. Seulement, faites attention. On ne prononce pas le nom d'Hazeyneel n'importe comment ▬ si vous ne voulez pas vous prendre un mur, il ne vaut mieux pas. On pourrait l'écrire de cette manière si on devait le prononcer ; Anréstone.

Prénom(s) ;; Cette fois encore les prénoms du jeune homme sont des prénoms bien spéciaux et complexes. Croire que ses parents ont eût un éclair de génie n'est pas un luxe. Le jeune homme possède deux prénoms ; Hazeyneel, dont on ne connaît que la prononciation ▬ soit Azéinil ▬ et Mandrake qui était un sorcier réputé...

Surnom(s) ;; Le jeune homme n'est pas du genre à aimer les surnoms et autre dérivés de ses prénoms. Seuls ses amis peuvent l'appeler Haz', Hazey ou encore Mand'. Mais encore une fois, il préfère ses vrais prénoms à leurs diminutifs affectifs...

Date de naissance ;; C'est sûrement un signe révélateur de sa proche agonie que la date de sa naissance. Hazeyneel Mandrake Anjeston est né un soir d'hiver, un soir de neige. Plus précisément un soir où les morts et les vivants cohabitent ; deux novembre.

Lieu de naissance ;; Il est rare que les sorciers et sorcières ne viennent pas à la vie à Ste-Mangouste, hôpital des sorciers. C'est le cas de Hazeyneel qui est né dans le manoir de sa famille, à Godric's Hollow. Un endroit qu'il aime beaucoup.

Lieu de résidence ;; Le professeur de mythologie de poudlard a toujours vécu et vivra toujours dans la sombre demeure, le manoir horriblement triste qu'est le manoir de Godric's Hollow. La famille y a établi résidence il y a de cela des siècles, bien avant l'histoire de la vie d'Hazeyneel.

Sang ;; On dit que Godric's Hollow aurait accueilli seulement des sorciers. Ceci est entièrement faux. La famille Anjeston est partagé entre sorciers et moldus. La mère de Hazeyneel était une fière sorcière alors que son père est et restera un moldu de pure race...

Informations complémentaires

Métier ;; Hazeyneel est professeur de mythologie à Poudlard depuis près de deux ans déjà...

Composition de la baguette ;; « C'est la baguette qui choisit son sorcier, pas le sorcier qui choisit la baguette. » Ce sont des paroles de sage, vous ne trouvez ? Ce qui est certain, c'est qu'une des baguettes a désormais un propriétaire. La baguette d'Hazeyneel est en if, souple et résistante. Relativement fine et mesurant un total de vingt-cinq centimètres. Elle possède une plume d'hippogriffe, symbole de fermeté et dureté. Elle est très utile pour les sortilèges... Nous pouvons y ajouter une signification. Le bois d'If est en réalité signe de continuité de la vie, du cycle de la vie et l'éternité, lien entre la vie et la mort.

Camp ;; Hazeyneel est profondément anti-voldemort...

HJ - vous

Pseudo ;; orange-juice ou sky ^^.

Âge ;; Entre 1255 et 1355 =.=

Niveau ;; Assez bon.

Avatar ;; Josh Duhamel

Présence ;; We will see

Code ;; True Hanky Funky What a Face

Comment nous avez-vous connus ;; Si je vous dit Caldwyn et moi sommes de la même famille ?

J'ai juste ajouté quelques champs et déplacés certains autres, j'espère que cela n'est pas grave ^^.

ne pas poster après !

Newcomer

Un ultime coup fût porté au visage du jeune garçon. Il avait à présent une grosse marque, une vilaine marque de main sur la côté gauche du visage. Mais après tout, il y était habitué. Il avait vécu comme cela depuis longtemps et une claque de plus ou de moins n’aurait pas changé quelque chose. Le jeune garçon se releva, péniblement mais sûrement et n’osa même pas regarder son père, si on peux appeler cela un père, vu les blessures qu’il infligeait à son enfant.

« C’est ça ! Ne me regarde pas ! Remonte là-haut et ne vient pas ici tant que je ne l’aurait pas dis ! », hurle t-il, d’une voix horrible. Le jeune garçon baisse la tête ^puis tourne le dos à son père. « Marche mieux que ça ! », lui hurle t-il à la figure. Hazeyneel, péniblement, essaye de marcher droit mais avec les coups qu’il a reçu, cela n’est pas chose facile. Il remonte péniblement la colonne vertébrale et essaye de marcher droit. Le garçon garde de lourdes séquelles à chaque fois qu’il se fait battre. Et cela est très fréquent. Il remonte les escaliers de bois, s’accrochant à la rambarde.

Deux minutes plus tard le jeune homme est monté dans sa chambre, là où personne ne vient, trouvant cet endroit trop « Hazeyneel », trop parfait, trop… Le jeune homme s’y ait construit un havre de paix, un endroit où il peux pleurer en silence, attendre le jugement dernier, une absolution, un moment où il serait enfin libéré de l’emprise de son infâme père. Son père. Un immonde homme qui ne mérite pas qu’on le fasse vivre, c’est l’avis d’Hazeyneel. Et Hazeyneel vit désormais seul avec lui. Et c’est loin d’être une partie de plaisir que de rester avec cet infâme monstre. La famille, du moins ce qu’il en reste est déchirée en deux. Et comme les deux seules personnes de la famille sont Hazeyneel et son père, la chose est assez complexe.

Avant cet épisode de la vie de Hazeyneel, le jeune homme vivait avec ses deux parents. Une mère, un père. Comme tout être humain normalement constitué. La vie était assez bonne, assez … réelle. La vie était comme le paradis ; blanche et sans problèmes. Mais que les moldus peuvent être fous dans leurs vies de miséreux. C’est un soir d’octobre que tout a dérapé. Hazeyneel avait alors deux ans, presque trois.

Newcomer

Le père d’Hazeyneel est là. Devant sa femme. Elle est à genoux, le main sur sa plaie, sur sa joue, la main sanglante. Une fois de plus la violence a été de mise. Pour quelconque affaire qu’il soit. C’est toujours comme ça pour cet immonde homme. Bien que la femme soit une sorcière, elle est menue et faible contre un homme d’une carrure impressionnante, alors n’imaginez pas qu’elle sorte son bout de bois pour qu’il lui rit au nez. Cela reviendrait à donner une pomme à un singe, en somme, il vous rigolerais au nez. Elle regarde l’homme d’un air mauvais, meurtrier. Lui a le sourire sadique d’un meurtrier, d’un homme battant sa femme, d’un homme qui ne veux tout que pour lui. Il a un couteau a la main. L’homme vient d’arracher si je puis dire une parcelle de peau de la femme âgée d’une bonne trentaine.

« Tu en veux encore Lésina ? Ou veux-tu que j’arrête là le massacre ? », dit-il d’une voix criarde et horrible. Il regarde celle qui tient place de femme dans sa vie comme on regarde un chien terriblement amoché, avec pitié et dédain. La femme, elle ne regarde plus son mari mais se relève doucement. La loi du mari qui torture sa femme, pour elle du moins, c’est révolu. Après avoir redressé avec peine son dos, la jeune femme regarde son mari puis lui dit d’une voix calme ; « Quoi que tu me fasse Aahron, cela ne sera pas pire que ces treize dernières années passées à tes côtés. » S’en est trop ▬ visiblement ▬ pour Aahron. Il ne laisse pas sa femme reprendre sa phrase et d’un coup de couteau bien placé, il abat sa femme. La mère de famille meurt sur le coup, son corps gisant le sol. Sa tête tombe lourdement. Plus une respiration, plus une seule goute de vie n’apparait dans les yeux de Lésina.

Plus loin de la pièce, mais en con tact direct avec la pièce en réalité, Hazeyneel a observé la scène. Il n’a que deux ans et pourtant il a très bien compris. Il a compris qu’il n’avait plus de mère mais que son père était bien mort dans son cœur et dans sa tête. Il n’était plus qu’un monstre. Un monstre assoiffé de sang, de pouvoir, un immonde lâche. Mais comment expliquer à un garçon de trois ans à peine qu’il ne faut pas aller voir le corps gisant de sa mère mais plutôt partir, s’enfuir, très loin de cette maison. Au lieu de cela, Hazeyneel part de sa planque et vient à la rescousse de sa mère en ouvrant la porte de la cuisine à la volée. Il regarde son père, le regard haineux mais sans pourtant exprimer le fait qu’il le déteste à présent. L’instant d’après il hurle, sur le corps gisant de sa mère « Maman. Nooooon. Maman ! Réveilles-toi ! » Même s’il a compris, il ne veut pas y croire. Il ne veut pas croire que sa mère est décédée, sans vie. Mais tôt ou tard il doit bien affronter la triste vérité. Il se relève, en larmes. Regard assassin vers son immonde père. « Qu’est-ce que t’as fait à maman ? Je te déteste ! ». En un pas, il court à présent dans sa chambre, située à l’étage.

Depuis ce jour, les relations père-fils de la famille avaient été très tendues. Et Hazeyneel ne voudrait sûrement pas que cela s’arrange. Il détestait son père autant qu’il avait détesté sa mère de l’avoir lâchement abandonné. Mais seulement avec des années de plus, il avait compris. Il avait compris que c’était pas de la faute de sa mère, mais de son meurtrier. D’ailleurs, manière de provoquer son père, il lui avait demandé un de ces sois « Ça fait quoi d’avoir une mort sur le dos ? » Et là encore, comme Haz’ s’y attendait, le père l’avait giflé. « Ne parles pas de ton père de cette façon ou tu connaîtras la pire torture de ta vie. »

Alors vous comprenez désormais pourquoi les relations père-fils sont tendues dans la famille. Et cela ne s’arrangerait pas avec le temps, sûrement pas.

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Les années avaient pourtant passées. Le jeune garçon innocent qu’était Hazeyneel a mûri, en bien je vous rassure. Il a désormais onze printemps et sa vision de la vie est toujours aussi horrible. Sa vision de son père n’a pas non plus changée. Pourtant, ce dernier est toujours aussi tyrannique avec son fils en y ajoutant le fait que le jeune Hazeyneel a désormais les corvées quotidiennes à faire. Touts les matins, le jeune homme apporte le petit-déjeuner, fait les lits, le ménage, la vaisselle et en prime, il n’a pas le droit aux divertissements des petits garçons moldus comme la télévision. La vie est horrible en somme, pour lui du moins.

Mais son côté magique reprend le dessus quand un monsieur, un vieux monsieur en réalité, vient frapper à la porte de chez son père, à la maison de Godric’s Hollow. Hazeyneel se poste en haut des escaliers de bois, pour écouter la conversation qui se tient dans le salon. Le père d’Hazeyneel ne demande pas au vieux monsieur s’il veux voir quelque chose, c’est une des choses qu’il aime ▬ entre autre ▬ très peu demander. Après un vif échange, Aahron hurle « Hazeyneel ! Viens là !! » Le jeune homme qui entend son nom sursaute puis descend les marches. Il arrive enfin à la porte et demande « oui ? » Son père, de sa grosse voix lui ordonne de s’asseoir. Il exécute. « Excusez-moi monsieur Anjeston, pourriez-vous nous laisser seuls un moment ?! », demande le vieux monsieur. L’autre exécute dans un grognement.

« Je me prénomme Albus Dumbledore et je suis le directeur d’une école qui souhaiterais t’avoir dans ses élèves à la rentrée… », recommence le vieil homme après la disparition du père d’Hazeyneel. « Mais avant tout, je voudrais que tu lises ceci… », continue t-il en lui donnant une enveloppe. Hazeyneel saisit l’enveloppe, remercie le vieux monsieur d’un sourire et l’ouvrit d'un geste brusque.

Citation :: « Cher monsieur Anjeston,

J’ai le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d’ores et déjà d’une inscription au collège Poudlard école de sorcellerie. Vous trouverez ci-joint la liste des fournitures nécessaires à votre apprentissage. Sachant que la rentrée a lieu le premier septembre, nous attendons avec impatience votre hibou, le trente et un juillet au plus tard.

Veuillez croire, cher monsieur Anjeston en mes sentiments distingués,
Minerva McGonagall, directrice-adjointe. »

Abasourdi, le cœur battant, Hazeyneel posa la lettre au coin de la table basse, posée à côté de lui, puis regarda d’un air grave le vieil homme « Ca veux dire quoi en clair ?! », demanda-t-il bêtement. « N’as-tu donc pas compris ? », répliqua le vieil homme prénommé Albus ▬ apparemment. « Oh que si. J’ai compris mais j’aimerais que vous m’expliquiez. Je suis quoi ? Un aliéné ? Un fou ? », demanda Hazeyneel. « Rien de tout ça mon cher Hazeyneel. Tu es un sorcier, vois-tu. Je sais que cela peut paraître fou mais cela est la pure et simple vérité. », voix douce et calme. Hazeyneel n’en revenait pas. Un sorcier. N’importe quoi. Il devait rêver. Pour preuve de son imagination débordante il se frappa la tête et ressenti une immense douleur. Visiblement il n’était pas fou et ne rêvait pas. L’homme devant lui le regardai d‘un air grave. « Admettons que je vous croit. C’est quoi la suite du programme ?! », murmure à peine audible en réalité.

La suite s’était enchaînée. Le « professeur » Dumbledore lui avait expliqué qu’il l’emmènerait lui-même au chemin de traverse, endroit des sorciers, apparemment et que de là, ils « transplaneraient » ▬ terme inconnu du langage de Hazeyneel ▬ jusqu’à la gare King cross. Il lui expliqua aussi comment passer la barrière du train, assez complexe apparemment.

La suite s’était passée très vite en réalité. Les jours avaient passés tellement rapidement que Hazeyneel n’avait pas vu que le temps changeait peu à peu. La fameuse « journée » arriva avec beaucoup d’appréhension pour Hazeyneel. Il avait compris la nature de sa condition, désormais. Il était sorcier, comme sa mère et ceci, personne ne pourrait rien y changer, pas même son père. Dans quelques jours ils serait en route pour l’école de sorcellerie Poudlard, où il apprendrait de vraies choses, concrètes et utiles.

Le chemin de traverse était en réalité le lieu de rencontre de nombreux sorciers, sorcières mais aussi de leurs chérubins, leurs mômes prêts pour aller à Poudlard. En y arrivant, Hazeyneel avait découvert un monde magique et presque irréel. Il aimait beaucoup ce monde et avait d’ailleurs demandé pour rester après les emplettes. Mais le professeur Dumbledore avait beaucoup à faire. L’épisode de l’achat de la baguette l’avait particulièrement marqué.

Il était entré par la petite porte de bois, seul, le professeur Dumbledore l’attendant au dehors. « Bonjour… » pas de réponse. Aucun signe de souffle de vie. « Bonjour… », répéta le jeune homme. C’est là qu’un homme, aussi âgé que Dumbledore, voire même plus se posta derrière une des étagères qui peuplaient la boutique. Puis, quelques secondes après, il se posta au devant du bureau qui devait lui servir de comptoir. « Bonjour. », recommença Hazeyneel. « J’aurais besoin d’une baguette… ». Le vieil homme, vendeur de baguettes apparemment le regarda d’un œil rond « Bien sûr que tu es là pour une baguette. Pour quoi d’autre serais-tu là, cher enfant ? »

Après quelques essais ratés, Hazeyneel avait trouvé une baguette parfaite. Une baguette en bois d’If, signe de continuité de la vie, un lien entre vie et mort. Une baguette avec une plume d’hippogriffe, souple et résistante, parfaite pour les sortilèges. En somme, une baguette qui lui convenait.

Sitôt sorti du chemin de traverse, il fallait déjà embraquer dans le train. Eh oui, la matinée avait passée et l’heure du départ avait été prévu pour onze heures tapantes. Dumbledore donna un horaire, une indication puis fila, on ne sait comment.

Hazeyneel, une fois passé la barrière, découvrit un train rouge feu et un panneau indiquait « voie 9 ¾, Poudlard Express », il était donc résolument arrivé. Très pressé, le jeune homme arriva devant le compartiment des bagages, les donna puis monta dans un wagon. Le train était déjà plein à craquer mais par chance il trouva bientôt un compartiment vide pour le moment, pas pour longtemps. Après une bonne heure tout seul, un jeune homme aussi vieux que lui vint le voir, lui demander s’il pouvait s’asseoir. Hazeyneel répondît positif à la question. Les deux jeunes sorciers se parlèrent, dialoguèrent en somme. Ils se racontèrent leurs histoires et Hazeyneel avait compris que ce jeune homme vivait avec sa mère et son père, que son père était employé au ministère de la magie et sa mère à St-Mangouste. C’est tout ce que Hazeyneel savait à présent…

« Anjeston, Hazeyneel… », paroles prononcées par le professeur McGonagall. Il avait alors tenté de ne pas regarder les autres puis s’était avancé en esquissant un sourire à Mike, le garçon du train. Quand il était arrivé au tabouret de bois, il s’était assis et le professeur McGonagall avait posé le choixpeau magique sur sa tête. Ce dernier avait alors commencé à répartir le jeune garçon. « Hum. Une grande facilité pour l’apprentissage, docile mais effronté en même temps. Courageux. Je ne vois qu’une seule maison ! Gryffondor !! » Il atterrissait donc dans la maison du courage. Cependant il fut déçu quand il apprit que son ami Mike avait été envoyé à Serdaigle. Cependant leur amitié durerait sûrement.

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L’apprentissage de sorcier était quelque chose de bien différent de ce que Hazeyneel avait appris jusqu’à présent. C’était un élève plus qu’intelligent et ayant une faculté extrême quant aux défenses contre les forces du mal, aux potions et à la métamorphose. Il était un élève brillant sans trop être intelligent non plus. Il était un de ces élèves effrontés qui aime à déroger au règlement. Il se retrouva maintes fois chez le directeur sans trop graves conséquences. Mais le coup le plus brutal qu’il eût à subir eût lieu lors de sa septième année. Le vingt deux avril exactement.

« Bonjour Hazeyneel, content de vous revoir. », avait commencé le professeur Dumbledore, d’une voix sereine mais toutefois le visage triste. « Il en va de même pour moi monsieur. », avait répondu Hazeyneel. Le visage de Dumbledore semblait devenir de plus en plus triste. « J’ai une mauvaise nouvelle pour vous… », avait-il continué. Hazeyneel n’avait prononcé aucun mot. « Votre père est mort. Il a succombé à une fusillade où il a été touché au cœur. Il n’a pas supporté. » Le cœur de Hazeyneel lâcha tout d’un coup. Son infâme père était mort ? Qu’importait. Il l’avait bien mérité après toutes ces années de martyrs. Il avait mérité de mourir, de souffrir, d’agoniser. Un simple regard de la part d’Hazeyneel « Très bien. Et c’est où que je signe la décharge pour me débarrasser de sa dépouille ? », dit-il calmement. Dumbledore semblait outré. « Écoutez professeur Dumbledore, il a mérité ce qui lui arrive. Depuis que je suis petit il me battait, et il a assassiné ma mère. Le revoir un été de plus et je me serais volontiers traîné à la tour d’Astronomie, pour m’y jeter allègrement. Alors qu’on l’enterre, qu’on l’incinère ou qu’on en fasse des confettis, je m’en contre-fiche pas mal. » La discussion fut arrêtée là et la fin des ennuis avec son père avec.

Cette même année, le jeune homme réussit et remporta avec brio son dernier examen d’Aspics. Il en fut bien heureux. Mais malheureusement il n’avait toujours pas d’idées quant à son futur métier. Les idées fusaient n’importe comment. Journaliste, auror, oubliator, rédacteur d’un nouveau journal… les idées étaient toutes invraisemblables. Puis les rumeurs sur la mort de l’ancienne professeur de Mythologie, professeur Harris, avaient fait germer dans son esprit une idée. Professeur de Mythologie. Il avait toujours montré une forte capacité à cette matière optionnelle qu’il avait choisit. Cela paraissait évident. Il aimait cette matière et y était plus que compétent.

Après quatre ans de « galère », il aurait enfin un vrai poste. Un poste sécurisé, avec une sécurité, celle de Dumbledore, qu’il avait toujours aimé. La même année, il eût donc un entretien avec le professeur Dumbledore. Entretien qu’il réussi, apparemment. Le jeune homme de vingt et un ans était plein d’espoirs quant à cet entretien avec son ancien directeur. Puis il avait toujours aimé Poudlard et son environnement alors c’était plus que parfait pour lui, un poste là-bas. Puis il n’était pas du genre à être très strict mais tout de même. Il mènerait ses élèves à la baguette…

L’entretien ayant été concluant, le jeune homme avait eu une réponse rapide du professeur Dumbledore qui s’était déplacé en personne dans le village de Godric’s Hollow pour lui annoncer la nouvelle de vive voix. Hazeyneel avait été plus qu’enchanté d’entendre qu’il allait enseigner ▬ »un de ces nombreux rêves qu’il aime à croire qu’il va les exaucer ▬ au collège Poudlard, en remplacement de l’ancienne professeur de mythologie, Heaven Harris, professeur qu’il avait beaucoup appréciée mais qui était désormais décédée.

Newcomer

« Ma vie n’a jamais été facile. Loin de là. J’ai vécu beaucoup d’épreuves, la plupart avec mon père. Désormais je continue ma vie sans lui et ses coups, ses coups de poings. Désormais je suis bien mieux sans lui. Je vis seul avec pour seule compagnie un petit elfe que j’ai adopté et qui s’appelle Blanche. Une petite elfe donc. Il n’y a pas si longtemps, j’ai rejoint le camp de Dumbledore. Mon elfe, elle, reçoit le meilleur traitement qui soit et je ne lui demande qu’à être elle-même avec moi. Je lui offre régulièrement de nouveaux vêtements. Pour moi Elfes, Gobelins ou sorcier, nous sommes les mêmes… Si je peux aider à la bataille qui se prépare au loin, je le ferais… »

Hazeyneel Mandrake Anjeston.

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6ème année

Bienvenuuuuuuuuuue chez les fous !!! bounce

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xD Leana a tout dit ! cheers

Bienvenue

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Vampire

validé

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